Fall To Pieces
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 On est pas à une bêtise près... [Fe John]

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Maëlle R. Willington

    LOVELY ADMINM a ë l l e • Opossum à la fraise ♥


Maëlle R. Willington

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▬ Ville où j'habite, où j'habitais : Londres aujourd'hui, New York au XXI siècle.

♥♥ My life in London ▬
Rêve: Rester la ballerine que j'ai toujorus était.
Mon groupe: Contemporaine _ perdue, la petite citadine, dans une époque qui n'est pas la sienne.
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On est pas à une bêtise près... [Fe John] Vide
MessageSujet: On est pas à une bêtise près... [Fe John]   On est pas à une bêtise près... [Fe John] EmptyDim 31 Jan - 19:49

On est pas à une bêtise près...

John &&. Maëlle


▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

On est pas à une bêtise près... [Fe John] Sanstitre22fb3 On est pas à une bêtise près... [Fe John] Ggic1-11b78ed
French Kiss et IceCream
Pendant la nuit, on va au paradis
Je me sens bien ici
je me souviens de toi
Même sous la mitraille
Le Lac - Indochine
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Maëlle souleva précautionneusement la latte du plancher qui grinça. Elle regarda sa cachette avec un sourire mélancolique, et saisit doucement son Ipod. Bien sur, il était exclu qu’elle puisse l’utiliser, mais au moins, elle savait qu’au milieu de son fourbis, il lui restait des souvenirs de sa vie d’avant. Elle reposa l’engin à sa place et saisit son portable. Elle l’ouvrit presque machinalement. L’heure ne marchait plus, et affichait 0h00 depuis qu’elle était arrivée dans cet étrange siècle. Il n’y avait pas non lus de réseau, bien sur, mais sans vraiment se rendre compte de ses gestes, elle ouvrit l’album photo que renfermé le téléphone. Elle regarda les clichés de Damira et elle, en tutu, riant de bonheur, puis Nolan et elle en train de s’embrasser. Ses yeux s’embuèrent et elle ferma le téléphone d’un geste vif. Elle se dit avec un sourire que son avenir était maintenant du passé. La jolie blonde avait toujours un peu de mal à assimiler cette notion, mais elle devait bien s’y faire, de toute façon elle n’avait pas d’autre choix. Elle remit en place la latte et se jeta sur son lit en poussant un grand soupir. Elle tourna la tête et regarda par la fenêtre, et ciel était gris et le soleil qui perçait timidement dans la matinée avait bel et ben disparut, caché derrière les épais nuages qui annonçait un bel orage. Maëlle n‘aimait pas l’orage, non pas qu’elle en ait peur, peu de chose était susceptible d’effrayer la fougueuse demoiselle, mais elle ne se souvenait que trop bien que le jour où elle avait apprit qu’elle était enceinte était un jour d’orage. La pluie tomait avec force ce jour là, et elle entendait encore la voix compatissante de cette femme qui lui disait qu’elle allait l’aider, et Damira qui lui prenait la main, lui répétant que son choix serait forcément le bon. Miss Willington cligna plusieurs fois des yeux, comme pour chasser de sa tête ses images. Peu de gens étaient au courant de cet épisode de sa vie, et personne, dans cette époque, ne devait être au courant. Son frère lui-même l’ignorait, Dylan l’ignorait, et si il l’avait sut, il n’aurait plus jamais voulut d’elle…Eleahy et Victoria elles-mêmes l’ignoraient, alors qu’elles savaient tout, ou presque de la vie de Maëlle ! Et John… Jamais il ne devait savoir, jamais personne ne devait savoir. La demoiselle avait bien tenté de chasser ses souvenirs de son esprit, mais elle sait pertinemment, qu’elle sera marqué à vie par ce qui lui est arrivé. Seul deux personnes –en dehors de la jolie blonde- étaient au courant. Damira et Victoria, sa Victoria, celle de New York. La belle se redressa brusquement et se mit à arpenter sa chambre avec impatience. Elle ne voulait plus penser à ça, elle l’avait vécut, elle le voyait dès qu’elle fermait les yeux, alors elle n’y repenserait pas tant qu’elle aurait quelque chose à faire ! Elle était bien décidée à ne pas laisser un souvenir, aussi pénible soit-il, lui gâcher la vie. D’ailleurs, rien ni personne ne lui gâcherait plus jamais la vie ni ne lui barrerait la route. Elle ne se laisserait plus jamais faire, elle avait bien trop souffert pour permettre encore à qui que se soit de lui faire du mal. Les gens ont beaucoup trop tendance à penser que la richesse offre tout, même le bonheur, mais dans le milieu de Miss Willington, il n’y à ni assistante sociale, ni psychologue, ni quoi que se soit pour aider, alors que les gens riches sont comme les autres : pleins de problème qui ne se résoudront pas avec l’argent. L’argent ne permet pas d’effacer la mémoire. Ca sert à rien Maëlle !! Se maudit la jeune fille pour la millième fois. Pour ne plus y penser, la blondinette décida de s’aérer un peu. Elle sortit de la maison qu’elle habitait avec son frère sans le croiser. Il travaillait tard, à l’Est de Londres. Elle ne savait pas vraiment où aller…Elle se balada un instant dans Cornhill, mais le soir ne tarderait pas à tomber, et il valait mieux ne pas être dehors à ce moment. Le XIXème siècle n’était pas une époque très fréquentable… Mais faisant fit de toute prudence, l’irresponsable demoiselle se rendit sans trop s’en rendre compte dans le quartier de Soho. A peine y était-elle rentré qu’elle se rendit compte de l’ambiance très différente de celle qui régnait d’habitude dans la City. La vie semblait plus sombre plus silencieuse, plus lente. Mais si Maëlle se rappelait bien de ce qu’elle savait sur le Covent Garden, s’était ici que se trouvait l’Opéra… Le célèbre Opéra du Covent Garden ! En tout cas, il était célèbre au XXIème siècle… Était-il déjà construit ? La belle ne parvenait pas à s’en rappeler… Elle avait pourtant déjà pris des cours d’«Histoire de la Danse » mais elle ne retrouvait pas la date de la construction du Covent Garden. Ce devait être à peu près à cette époque. Son instinct de gosse de riche lui cria alors de faire demi tour et de s’enfuir en courant, mais personne n’avait le droit de lui dire ce qu’elle avait à faire, pas même sa conscience, [Jiminyyyyy !] alors elle s’enfonça un peu plus dans ce quartier mal famé. Et bien sur, comme c’était à prévoir, elle se perdit. Les rumeurs sur le sens de l’orientation des filles étaient peut-être véridiques… Quoique la demoiselle n’était pas vraiment un exemple, elle aurait était capable de se perdre dans sa chambre… Peu à peu, Maëlle se rendit compte que les gens la dévisageaient. En faite, le regard était attiré par le collier qu’elle portait au cou. Peut-être pas très malin, de venir ici habillé comme une gentille petite bourgeoise… Mais tant pis, c’était un peu trop tard pour aller se changer maintenant. Elle regarda sa robe couleur prune, presque brodé d’argent, les diamants qui scintillaient dans ses cheveux et les bijoux qui brillaient… Étrangement, les Willington vivait vraiment très bien à Londres. Le frère de la belle était un avocat réputé et gagnait assez d’argent pour que sa petite sœur retrouve un statut à peu près équivalant à celui qu’elle avait à New York, pour le plus grand bonheur de la demoiselle. Elle avait beau dire, et apprécier les plaisirs simple de la vie, elle aimait l’argent et ses plaisirs, elle aimait le shopping, les vêtements, les sorties et les fêtes… Elle tressaillit un voyant un jeune homme, plus hardi que les autres s’avançer vers elle. Il semblait avoir environ vingt-cinq ans et, sans être habillé comme un mendiant, ne ressemblait en rien à un aristocrate qui serait venu pour la saluer. Les gens s’était fait extrêmement rare, et en fait, il ne restait plus que cet inconnu au visages antipathique, et trois hommes qui semblaient être ses amis. Maëlle pressa le pas, mais quand elle passa à leur auteur, elle sentit des mains lui agrippait les bras. Elle se débattit avec force, outré d’une telle familiarité. Un homme tenta de lui arrachait son bracelet, lui écorchant le poignet. Un autre saisit son collier à deux mains et tira dessus avec force. Il ne parvint qu’à faire une large entaille, mais peu profonde, dans le cou de la demoiselle. Immédiatement, une goutte de sang perla. Elle s’étrangla à moitié.

    MAËLLE : Compte pas trop la dessus mon choux…

    Elle donna un violent coup de pied dans les chevilles de l’homme à sa droite ce qui lui fit lâcher son bras. Avec un bras de libre, elle donna une gifle magistrale à l’autre et se dégagea. Elle recula d’un pas tandis que l’entaille à son cou versa du sang qui glissa doucement le long de son épaule nue. Les hommes se remirent relativement vite des coup infligé par la jolie blonde, qui n’avait pas plus de force qu’un petit chat. La, elle avait vraiment besoin d’aide. Elle fixa les quatre inconnus d’un regard noir et se tordit une cheville en reculant. Elle étouffa un juron et un gémissement de douleur. En tout cas, pas question pour elle de se laissait faire.


Dernière édition par Maëlle R. Willington le Jeu 11 Mar - 21:06, édité 2 fois
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John I. Francis

    L O N D O N I E N


John I. Francis

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MessageSujet: Re: On est pas à une bêtise près... [Fe John]   On est pas à une bêtise près... [Fe John] EmptyJeu 4 Mar - 16:55

On est pas à une bêtise près... [Fe John] Batch710 On est pas à une bêtise près... [Fe John] Batch711
Maëlle Rebecca Willington
&& John Ian Francis




    John Ian Francis, vous êtes accusé de haute trahison envers la famille Royale. Vous avez participer à l'enlèvement de la Princesse Victoria et voulu assassiner notre roi. Vous êtes donc condamner à être pendu ici même. Jusqu'à que mort s'en suive.
    L'homme tout vêtu de noir, avec une capuche sur le visage pour le cacher, s'approcha de John, celui ci était au milieu d'une estrade, une corde autour du coup, debout sur un petit tabouret.
    Toc Toc Toc
    John se reveille en sursaut, plein de sueur. Assis dans son lit, il respirait fort. Encore ce rêve, cela faisait la deuxième fois qu'il rêvait de .. sa mort. Enfin qu'il cauchemardait sur sa propre mort. Il passa ses deux mains sur le visage et laissa échapper un sourir de sa bouche. Il se leva ensuite. Et marcha un peu, il devait reprendre ses esprits. Le jeune alla se passer de l'eau sur le visage. Cela le reveillerais surement. Reprend tes esprits, ce n'était qu'un rêve, se dit-il à lui même.
    En effet ce n'était qu'un rêve, jamais il ne serait ... pendu. Enfin il l'esperait. Parce que mourir pendu ... très peu pour lui. Il sortit de sa chambre et se dirigea vers sa petite cuisine. Oui, elle était petite, tout comme le reste de sa maison. John n'avait jamais voulu d'une grande maison, avec beaucoup de domestique. Il n'en voyait pas l'utilité, à part craner un peu, cela ne servait pas à grand chose. Il avait juste une femme qui venait une fois par jours. Elle lui apportait de quoi manger, de quoi boire, et lui faisait un peu le ménage. Cela n'allait pas plus loin.
    Il prit donc un petit bout de pain, et un verre d'eau. Il ne mangeait pas beaucoup le matin, il préferait garder le reste pour la journée. Puis il se redirigea vers sa chambre pour enfiler des vêtements convenable. Une fois près il sortit de chez lui.
    Il aimait bien ce balader dans les rues de Londres. Le matin, les rues sentaient bon, de bonne odeurs de pain. Il ne s'attarda pas, et continua à avancer. Il salua de temps en temps quelque passant de sa rue. John n'était pas particuliérement connu, mais il connaissait quand même quelques personnes sans pour autant les cotoyer tout les jours. Juste un bonjour, bonsoir de temps en temps.
    La tête haute, il s'engouffra dans une petite ruelle, personne n'osait y allait. Seul du moins. On ne savait pas trop ce qu'il pouvait se passer, et marcher seul, dans le noir, ce n'était pas au goût de certaine personne. Tout en marchant John laissa son esprit vagabonder et penser à certaine personne. Certaine personne comme la princesse Victoria. Il sourit simplement en pensant à elle. Son visage, son sourire... Il aurait tellement aimer la revoir. Lui reparler ne serait ce qu'une fois. Mais bon tout n'était pas si simple, parler à un membre de la famille royale, ça ne se fait pas en claquant des doigts. Sinon la vie serait beaucoup plus simple et certaine chose aussi.
    Puis il se mit a penser à Maëlle. Cette jolie blonde intriguait John. Il l'aimait bien, beaucoup même. Mais il avait l'impression qu'elle lui cachait quelque chose.
    Enfin bon, le coeur de John est asser compliqué, il est partager entre de nombreuse fille, et cela n'est pas simple tout les jours.
    Il marchait donc dans les rues, et tourna dans une autre, tout aussi sombre que la précedente. Ce quartier était un quartier asser sombre en effet. Beaucoup de gens se faisait agresser, malheureusement pour eux. Surtout les personnes d'asser haute société. En même temps pourquoi ils venaient ici, si il savait ce qu'il les attendait.
    Les mains dans les poches, il regardait autour de lui, les maisons se ressemblaient toute, toute noire, presque sans vie, on pourrait même dire qu'elles sont hanté, mais bon n'allont pas trop loin quand même, des maisons hantés, il manquait plus que ça tiens.
    Alors qu'il continuait sa marche, il entendit des voix. Des voix d'homme ... et une voix de femme. Très curieux, le jeune homme avança vers le son des voix. Il voulait s'avoir de quoi il s'agisssait. Cela pouvait être n'importe quoi ou alors simplement des amis en train de parler de tout et de rien. Mais, alors qu'il avançait toujours dans cette direction, il pût entendre la fille en question poussait un petit cris. Allons bon. Il pressa donc le pas pour arriver à l'endroit de la dispute. Il ne lui fallut même pas une minutes pour y accéder.
    Une jeune fille, dos à lui, une blonde, dans une mauvais posture, était en train de se faire aggresser par des hommes, bien plus fort qu'elle. Ne voulant pas rester à rien faire, et regarder la pauvre fille se faire détrousser comme un vulgaire animal, il marcha en leur direction pour l'aider. Et c'est là, quand arrivant près d'eux, il reconnu son ami. La Jolie Blonde, Maëlle.





[DSL pas trop d'inspi x)]
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Maëlle R. Willington

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Maëlle R. Willington

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MessageSujet: Re: On est pas à une bêtise près... [Fe John]   On est pas à une bêtise près... [Fe John] EmptyJeu 11 Mar - 21:12

    Le premier homme regarda Maëlle avec un horrible sourire qui fit frissonner la demoiselle. Comment osait-il la regardait ainsi ? Elle recula d'un pas, plus par instinct qu'autre chose. Elle n'était pas de taille à lutter, donc ce n'était pas le moment de faire la maligne. Elle passa une main dans ses longs cheveux blonds pour se dégager les yeux. La danse lui donnait une souplesse et une agilité qui pouvaient être utile dans ce genre de situation, elle devrait donc miser la dessus, plutôt que sur la force brute, qui ne lui serait d'aucun secoure, puisqu'elle était en infériorité numérique, et musculaire. Elle regarda autour d'elle, à la recherche d'un quelconque soutiens. C'est la qu'elle aperçut une silhouette qu'elle aurait put reconnaître entre mille. Bien malgré elle, elle ne put retenir un sourire. John. Jamais elle n'avait était aussi heureuse de voir le jeune homme. Et pourtant, chaque rencontre avec lui était un sublime moment. Il faut rien dire qu'elle ne savait pas ce qu'elle ressentait pour lui. Bien sur elle aimait Dylan, mais ses sentiments pour les deux hommes étaient si confus qu'elle même était complètement perdu... Quand elle était à New York, elle désespérait un peu de trouver un jour, le grand amour, et à peine arrivée à Londres, elle tombait sous le charme de Dylan, mais aussi de John. Son frère n’aimait pas trop le genre de relations qu’elle avait avec les gens de Londres, il trouvait ça un peu malsain, mais Maëlle avait prit l’habitude de ne plus vraiment faire attention au remarque de son frère, qui avait tendance à être un peu trop protecteur avec la jolie blonde, qui aimait sa liberté... Mais revenons au sujet préoccupant du moment. Ce n'était, pour l'instant, ni John, ni Dylan, ni son frère que la blondinette avait à l'esprit, mais plutôt les hommes en face d'elle qui commençait à se montrait un peu trop belliqueux à son goût. Elle sentit une goutte se sang coulait le long de son cou mais n'y prêta pas plus attention que ça. Elle regarda les hommes en face d'elle avec le sentiment plutôt agacent d'en avoir fait, une fois encore, qu'à sa tête. Elle c'était aventuré dans cette partie de Londres, faisant fit de tout les signaux d'alarme qui s'était enclenché en elle. Mais elle avait une bonne excuse : tout ce qu'elle voulait, c'était voir le Covent Garden. Une date lui revint soudain en mémoire. 1858 ! Bien sur ! Voilà maintenant un an que l'Opéra du Covent Garden avait remplacé de théâtre. Pour une ballerine, cette Opéra était un symbole de la Danse, de part les ballets qui s'y était joué. Et c'était une véritable chance qu'avait Maëlle, de le voir si peu de temps après sa construction ! Mais peu importe, elle ne verrait pas grand chose si elle se faisait agresser. Elle se tourna vers le jeune homme qui avançait vers elle, heureuse de cette aide bienvenu. Elle avait un peu l'impression de ce trouver dans un roman : la belle demoiselle en danger sauvé par le preux chevalier... Enfin, John n'était pas vraiment un preux chevalier, mais il était non seulement un de meilleures amis de Maëlle, mais aussi un peu plus que ça. La relation entre les deux n'avait jamais était très claire, et ce, depuis leur toute première rencontre. Miss Willington était elle même complètement perdue dans cette situation... Le premier homme qu'elle avait vu, celui avec un sourire à faire froid dans le dos, fit un pas de plus vers elle, et elle recula. Il fit un mouvement pour lui porter une main à la gorge mais la belle lui planta les dents dans la main. *Et la ? Pas calmé la ?!* Pas très hygiénique, c'est vrai, mais elle n'allait pas se laisser voler et étrangler comme ça ! l'autre retira vivement sa main, mais des doigts lui saisirent le bras gauche. La blondinette se tourna vers les doigts en question et regarda la visage de l'homme à qui ils appartenaient. Elle se débattit, mais il ne voulut rien savoir et resserra sa prise. La citadine marmonna d'un ton d'avertissement.

    MAËLLE ;; Ne me touchez pas ou je vous fait couper les mains...

    Les hommes éclatèrent de rire, ce qui augmenta encore l'agacement de Maëlle. Elle ne supportait pas qu'on doute de ses compétence. Elle envoya son pied dans le ventre de celui qui avait eut le malheur de se trouver juste en face d'elle et replaça une mèche de ses cheveux qui se rebellait. Elle se tourna vers John et sourit, bien malgré elle. Dès qu'elle se trouvait en la présence du beau jeune homme, elle souriait, elle était heureuse...

    MAËLLE ;; John ! C'est le ciel qui t'envoie...

    Les hommes s'arrêtèrent immédiatement et se concertèrent. Ils tournèrent vers John un regard méfiant et un sourire mauvais se dessina sur le visage pâle de la demoiselle. Elle savait que ce n'était pas très malin de venir dans un des quartiers les plus mal famés de Londres, mais après tout, elle avait l'habitude d'aller dans le Bronx, à New York, à cause d'Alex... Mais là, habiller à là Cendrillon... *T'es allé un peu loin là quand même, Maëlle...* La belle étudia la situation sous tout les angles, seule, elle était inoffensive, mais John à ses côtés, c'était un peu moins désespéré...

    MAËLLE ;; Je peux compter sur toi encore une fois ?

    La belle sourit à son ami, elle savait qu'elle pouvait toujours compter sur lui, il était un soutiens sans faille, un peu comme un grand frère pour la demoiselle, même si les sentiments qu'elle éprouvait pour lui était un peu trop confus pour qui quiconque puisse parler de liens fraternel. A tel point même que Dyaln ne supportait pas son le beau jeune homme, qu'il considéré comme un rivale.
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John I. Francis

    L O N D O N I E N


John I. Francis

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MessageSujet: Re: On est pas à une bêtise près... [Fe John]   On est pas à une bêtise près... [Fe John] EmptySam 27 Mar - 15:15

    Quand John reconnu son ami, il ne refléchi pas une seconde de plus. Il devait l'aider et ne pas laisser ses affreux bohnomme s'attaquer à elle. Il ne manquait plus que ça. Ils étaient au compte de quatre. Mais comme des hommes peuvent faire ça à une fille quoi. John trouvait cela révoltant, et vraiment inutile. Autant s'attaquer à quelque chose ou quelqu'un de votre gabari, et laisser les gens tranquille, aller et venir. Il fixa son amie, et celle ci lui sourit. Elle devait lui offrir ce sourire pour le remercier d'être venu à son aide. Il remarqua ensuite la petite trace de sang coulait le long de son cou. Non mais en plus ils osent la blesser. John essaya de garder son sang froid, il ne servait à rien de s'emporter, il se ferait métriser en un rien de temps, et se retrouverait les fesses dans la poussière avant même d'avoir eu le temps de dire ouf.
    John savait très bien qu'il ne pourrait pas faire grand chose face à ces hommes, il n'était pas bien musclé et plutôt gringallé. Alors se battre contre des hommes comme ceux qui se trouvaient devant lui, il allait y réfléchir à deux fois. Mais il ne pouvait pas laisser Maëlle dans une situation comme celle ci. Il regarda un petit moment la jolie blonde qui se trouvait à ses côtés. John aimait beaucoup Maëlle. Même peut-être plus qu'il ne le pensait. Mais le jeune homme était perdu, vraiment perdu dans les sentiments qu'il éprouvait pour la belle, et aussi pour toutes ces autres filles. Il s'attachait facilement aux gens, et parfois plus qu'il ne l'aimerais alors, il perdait alors tout ses repères, et c'est comme ça que son coeur se retrouva dans une situation asser complexe a chosir entre différente fille, qu'il aimait autant les unes que les autres. Le jeune conspirateur secoua la tête, il ne devait pas penser à cela, et surtout pas dans un moment pareil. Il ne devait se concentrer sur les quatres hommes face à eux. Et se débrouiller pour trouver une solution pour sortir la jeune Willington de là.

    MAËLLE ;; Ne me touchez pas ou je vous fait couper les mains...

    Les quatres hommes se mirent alors à rire. Ce qui énerva encore un peu plus John, comment pouvaient-il en plus de terroriser son amie, se moquer d'elle. C'est alors, que pour se vanger, surement, elle frappa à l'aide de son pied dans le ventre d'un des hommes. John resta un moment très étonné du geste de Maëlle, il ne l'avait jamais vu faire une chose pareille, et cela l'étonné beaucoup. Il ne connaissait pas son amie comme ça. Elle n'était pas du tout du genre violente, et elle ne ferait aucun mal à une petite mouche. Mais au bout de quelques secondes, il sourit, cet homme l'avait bien chercher, et cela était tant pis pour lui. Il avait oser poser ses sales mains crasseuse sur elle, et si il était arriver peu de temps avant, jamais il ne l'aurait laisser faire, et jamais il n'aurait poser ses mains sur elle. Ca John en était sur, il aurait fait quelque chose, il ne savait pas quoi à ce moment précis, mais dans le feu de l'action, il aurait défendu Maëlle. Et l'homme, même si il faisait au moins trois fois sa taille, aurait manger la poussière. Enfin, John pensait cela, mais il était quasiment sur que sa aurait été lui qui aurait manger la poussière. Avec sa légendaire force de mouche, il n'aurait pas fait long feu. Elle se tourna ensuite vers lui, et lui souris. John aimait la voir sourire, cela le faisait sourire également. C'était comme obligatoire, il ne pouvait cesser de lui sourire quand elle se trouvait près de lui.

    MAËLLE ;; John ! C'est le ciel qui t'envoie...

    Le ciel ? Peut-être que cela était quelque peut exagérer pensa alors John, mais ce qui était sur, c'est qu'il avait décider de l'aider, et de ne pas la laisser en plan.

    John -} Peut-être bien qui sait.

    Dit-il en plaisantant. Non mais est ce que c'était vraiment le moment de plaisanter, dans une situation comme celle ci, il y avait vraiment autre chose à faire. Surtout quand John se tourna de nouveau vers les hommes, et qu'ils se mirent à sourire, un sourire vraiment pas sympathique. Il regarda alors dans tout les recoins de la rue, un moyen de se sortir de là. Il devait bien avoir une solution.

    MAËLLE ;; Je peux compter sur toi encore une fois ?

    John -} Bien sur que tu peux compter sur moi. Je suis là pour t'aider.

    Dit-il avec un petit sourire sur les lèvres. Ce qui était sur, c'est que malgrès ces hommes, il trouverait un moyen de la sortir de cette macheuse posture. Quoi que cela lui coute, qu'il en sorte indemne, ou alors avec un jolie cocar à la fin de la journée. Cela ne l'importait guerre. Tout ce qui lui importait, c'était son amie, et sa sécurité.
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