Tea, coffee & bonne amie [PV Emelynn]

Tea, coffee & bonne amie

Pandora & Emelynn }

Tea, coffee & bonne amie [PV Emelynn] 1zz2qlk

Pandora jeta un rapide coup d'œil à sa montre. Cette dernière était de piètre qualité, en cuivre cabossé, mais Pandora y tenait. C'était le premier objet qu'elle s'était achetée lorsqu'elle avait quitté l'orphelinat. Elle l'avait trouvée chez un marchand ambulant arrêté en ville pour seulement quelque jours qui lui avait parlé de voyage et de découverte. Ce souvenir lui réchauffa le cœur. Elle constata néanmoins qu'il était seize heures. Les aiguilles en fer était respectivement disposées sur le XII et le XI. Les ombres que le maigre soleil faisait sur les battisses environnantes commençait à déclinées. Dans cette petite rue de Bloomsbury, l'activité était toujours a son comble. On aurait dit une fourmilière. Les allée et venue de la foules étaient lâchées par flots continuels et immuable. Sur le bas coté, quelques peintre s'essayait à retracer les visages des passants sur leurs toiles pour l'instant blanches.
Pandora s'était assise à la table d'un salon de thé dont elle était l'une des habituées les plus assidues. Elle regardait s'agiter la population a travers la vitre du lieux? C'était sa place habituelle. Pour rien au monde elle n'en aurait pris une autres. Elle pensa qu'elle aimait tout de cet endroit. La décoration sobre, propre et accueillant, les clients polis (à quelques exception près), le brouhaha ambiant qui semblait vous envelopper et l'odeur caractéristique du tabac que fumait la patronne. Quand cette odeur parvint à ses narines, elle se saisie de son étuis à cigarette pour en allumer une. Elle la porta à sa bouche, puis chercha dans ses poches de quoi l'allumer. Aussitôt, un homme qui conversait derrière elle fit volte face, un sourire aux lèvres.

- Demoiselle, désireriez vous du feu ?

Pandora le toisa. Plutôt bel homme, de classe aisé à en jugé par ses vêtements, la trentaine, ayant du goût à la vue des mets qu'il avait commandé, intelligent à la vue des journaux poser sur sa table qu'il semblait lire dans les moindre détails et surtout aimant les jeunes femme et conquête facile.

* Peut être aurais un jour pour cliente sa compagne qui le soupçonnera d'adultère *

Réflexion et constat fais, qui ne lui pris que quelques seconde, Pandora inclina la tête vers lui et décocha un sourire plein de mystère et de sous entendus qu'elle n'allait par la suite pas assumer par la suite. Elle murmura alors dans un souffle sa réponse.

- Mais avec grand plaisir Monsieur ?

- Monsieur Peterson...Souhaiteriez vous quelque chose ?

- Non merci, j'attends quelqu'un...

Pandora savait qu'il n'apprécierait pas cette réponse. Elle avait adoré jouer avec l'esprit de cette homme. L'être humain pouvait parfois être si prévisible...Sur ces derniers mot, elle se retourna, face à sa table. Elle n'avait en effet rien commandé pour le moment. Elle souhaitait par politesse attendre son hôte. Elle tira sur sa cigarette, puis se remis à contempler la rue. Elle n'était décidément pas satisfaite de sa tenue. Cette robe bleu était usée, mais c'était la seule qui pouvait convenir une sortie dans la rue. Quand à son manteau noir, il était plus que respectable, bien que bon marché. Il faudrait qu'elle songe à s'acheter de nouvelles toilettes plus gracieuse. Mais elle n'en avait pour l'instant ni le temps ni les moyens. Une question lui tarauda alors l'esprit. Comment son amie serait-elle vêtue ? Question futile, à laquelle elle trouva bien vite une réponse. Un visage familier venait de faire son entrée dans le salon de thé. Elle se leva, et accueillant chaleureusement la nouvelle invité elle lui souhaita la bienvenue.

- Emelynn ! Comment se porte la journaliste la plus célèbre de Londres ?

Invité

Les premières douches étaient créées, mais malheureusement nos moyens n’étaient pas assez conséquents pour pouvoir nous payer ce luxe. J’allais donc tremper mes jambes dans la minuscule bassine, mes bras, et mon torse. L’eau serait certainement tiède, je l’avais laissée chauffer pendant un petit bout de temps sur le poêle, tout en faisant un petit dîner pour Isaac ce soir ; je suppose qu’il serait bien content. Je déposai donc une petite tranche de bidoche sur une poêle, et déposai le pain blanc sur la table. Je jetai un regard à l’horloge ; quinze heures dix. J’avais rendez-vous à seize heures, dans un petit café au coin de la rue de Bloomsbury. Mon quartier, par chance. Une connaissance, voir même une amie, Pandora Chester, une jeune détective, m’y attendais. Nous nous étions rencontrées alors que je cherchais quelques secrets tandis qu’elle faisait une enquête. Nous avions donc partagé quelques informations, et je l’avais trouvé assez sympathique. Et nous allions nous revoir. Je ne savais pas si c’était professionnel ou privé, mais je me faisais une joie de sortir de l’appartement aujourd’hui.
La viande commençait à cuire trop. Je la retirai donc, et la mis dans une assiette, près du pain. Même froide, je savais que mon frère raffolait de cette viande. Je fis chauffer les œufs dans la même poêle pour qu’ils aient le goût de la viande. Une fois qu’ils furent prêts, je les mis sur la viande. Un parfait petit repas pour mon amour de grand frère ( : L’eau était chauffée, je pouvais donc désormais me glisser accroupie dans la mini-baignoire. Même si ce n’était pas très confortable, c’était tout de même assez sympathique. Une fois bien frottée, je sortis, et me séchai rapidement avec une serviette malgré moi un peu rugueuse. J’aurai aimé, un jour, porter les pantalons que porte les hommes, rien que pour essayer ; après tout, s’ils en mettait, c’était que c’était agréable, non ?
J’enfilai une petite robe fine, parfaite pour un jour d’été comme celui-ci. Elle était violet pâle, frôlant le blanc. Il y avait quelques nœuds de soie tombant élégamment sur le reste du tissu ; bref, rien de très sophistiqué. Je posai un beau collier, fin, en argent, sur mon cou, et je mis des boucles d’oreilles. Je chaussai mes petites ballerines blanches ; je n’en avais malheureusement que deux paires. Mais je les aimais comme la prunelle de mes yeux ; celles-ci étaient abimées au bout, mais vu le prix du cordonnier, je préférais encore les finir avant d’en acheter une nouvelle paire. Je détestai les talons, et ce n’était que bénéfices car cela coûtait encore plus cher. Enfin prête, je pris ma petite pochette, et sortis de la maison, tout en pensant à fermer dernière fois.

Je remontai la rue, resserrant le petit gilet que j’avais sur les épaules. Je n’avais pas mis plus que ça, puisque le petit Café, royalement appelé The Coffee était à quelques minutes à pieds. Mais je voyais bien, que malgré la fin de l’hiver qui approchait rapidement – nous étions déjà au mois de mars ! – la chaleur n’était pas vraiment au rendez-vous. Les cumulus, malgré leur blancheur, menaçait de déverser leurs flocons immaculées sur la grande ville qu’était Londres. Je maugréai intérieurement de ne pas avoir pris plus de précautions, mais je me réjouissait à l’idée d’arriver au café. Je le vis enfin, et je poussai la porte, qui poussa la sonnette, qui annonça à tout le monde ma venue. Je m’essuyai les pieds rapidement sur le tapis avec marqué « Welcome » en arc-en-ciel, et cherchai ma compagnie du regard, tout en embrassant la pièce. Une vague de chaleur m’envahit, et je m’approchais de la petite table ronde contre la fenêtre où était assise Pandora.

- Emelynn ! Comment se porte la journaliste la plus célèbre de Londres ?

Je lui renvoyai son sourire, tout en m’installant sur la chaise au large dossier rose qui m’était destinée. J’étais contente de connaître enfin quelqu’un avec qui je pouvais bien m’entendre.

« - C’est trop d’honneur, Pandora ! rougis-je. Je ne suis pas la plus célèbre, simplement la seconde ! m’esclaffai-je. »

Je posai ma pochette près du radiateur, et relevai la tête, profitant de l’occasion pour repasser une de mes mèches bouclées derrière mon oreille. Aujourd’hui je n’avais pas eus envie d’attacher mes cheveux , un peu de l’animal sauvage qu’il y avait en moi se libérait, lorsque je faisais ça.

« - Ma foie, il me semble que tout va à merveille de mon côté. Et vous, Mlle Chester, Détective de Bloomsbury, comment va la vie ? »

Je regardai sur la table, et remarquai que mis à part le paquet de cigarette de la jeune femme, il n’y avait rien sur la table. Comme une gamine, je reposai mes mains sur les bords de la chaise, comme j’en avais l’habitude de le faire lorsque j’étais enfant. Ce café me donnait l’impression de retomber en enfance, et c’était très amusant.

« - Vous n’avez rien commandé ?! Voyons, il n’en fallait pas tant pour moi ! Garçon ? »

« - C’est trop d’honneur, Pandora ! Je ne suis pas la plus célèbre, simplement la seconde ! »

Pandora se réjouissais de la pointe d'humour avec laquelle son amie avait répondue. Elle était comme à son habitude souriante, et Pandora aimait ce sourire. Il était simple, et bienveillant.
Elles s'installèrent à la table de Pandora. Emelynn pris place sur la seconde chaise, déposa ses effets personnels près du radiateur. La cascade de cheveux châtain d'Emelynn encadrait magnifiquement sont visage. C'était pour Pandora un plaisir de passer un moment en compagnie de la jeune fille. Cette dernière répondit néanmoins à la question initialement posée par Pandora.

« - Ma foie, il me semble que tout va à merveille de mon côté. Et vous, Mlle Chester, Détective de Bloomsbury, comment va la vie ? »

Elle tarda à répondre. Il n'y avait pas eu d'évènement majeur ces derniers temps, et les affaires sur lesquelles elle travaillait n'avaient rien de bien haletant. Elle était malgré tout en proie à une assez grande fatigue, si bien qu'elle avait dû cessé ses promenade nuptiale dans Soho ou au bord de la tamise.
Emelynn semblait regarder méticuleusement la table. Elle allait rapidement se rendre compte que Pandora n'avais rien commandé. Cette dernière détestait commandé avait l'arrivée de son hôte. Elle se recala dans sa chaise, se préparant à répondre à la précédente question d'Emelynn, lorsque finalement, ce fut son amie qui ouvrit le dialogue.

« - Vous n’avez rien commandé ?! Voyons, il n’en fallait pas tant pour moi ! Garçon ? »

A cette réplique Pandora sourit. Le timbre de voix d'Emelynn était frais, comme celui d'une enfant. Si seulement les trouble qui planait sur l'ombre de rendait pas les populations si graves...D'un geste, elle éteignit sa gigarette, remarquant qu'elle n'avait pas demander à Emelynn si elle supportait la fumée. Honteux. Elle rangea son paquet.

-Bien sur que si, il en fallait tant, j'aurais bien sorti le tapis rouge, mais il se trouve que la maitresse des lieux n'en avait plus en stock.... Pour ce qui est de ma vie, je me consacre pour l'instant à faire taire mon voisin du dessus. Je crois qu'il manœuvre pour se venger de la guitare à quatre heure du matin ! Mais pour ce qui est des affaire hélas, rien de bien passionnant. A par peut être quelque enlèvements inexpliqués, qui ont la fâcheuse manie de me priver de sommeil !

La réponse de Pandora s'était voulu volontairement humoristique. Elle ne voulait pas que la conversation prennent une tournure trop grave, mais elle savait qu'à cause de son caractère, cela arriverait tôt ou tard. Mais le plus tard possible. Une petite serveuse s'approcha de la table. Souriante, très jeune; trop jeune. Tirée à quatre épingle, Pandora ne l'avait encore jamais vue ici. Un mice sourire sur les lèvre, elles s'adressa très poliment aux deux demoiselles.

-Ces demoiselles désirent-elles commander quelque chose ?

-Oui, s'il vous plait, je prendrais volontiers un thé à la vanille et une part de tarte aux cerises s'il vous en reste. Puis se détournant de la serveuse, elle ajouta à l'intention d'Emelynn. Et vous, que désirez vous prendre ? Je me permet de vous conseiller leurs pâtisserie, elles sont incroyablement bonnes.

Invité

« - Ne vous tuez pas à la tâche ! m’esclaffai-je aux petites anecdotes de Pandora. »

Seulement, une jeune serveuse s’approcha de notre table pour savoir ce que nous voulions commander. Pandora me conseilla une pâtisserie… je n’avais pas tellement faim, en fait. Je connaissais la plupart des choses de la carte, sauf que là, j’avais un trou noir. Je ne savais pas du tout quoi prendre ! Un chocolat chaud ? Ou alors le jus de fruit ? Je me frottai les mains, et regardai un instant les passants qui marchaient derrière la vitre. Certains étaient sous leurs parapluies qui menaçaient de s’envoler à chaque seconde, à cause des bourrasques de vent ainsi que les quelques flocons de neige qui tombaient paresseusement du ciel sombre.

« - Une thé latté, s’il vous plait. Accompagné d’une tarte à la pomme avec de la cannelle, si vous avez. »

Je lançai un sourire à la jeune femme et réfléchis soudainement à comment je pourrais payer la note. Je rougis lentement, mais je me repris ; va ! Je trouverais bien le compte dans ma pochette ! Une fois la serveuse éloignée, je m’approchai de Pandora, comme si j’allais lui faire des confidences, et chuchotai, tout en lançant des regards soupçonneux autour de moi ;

« - Il paraît que leurs pâtisseries sont plutôt grasses, et je n’aimerais pas ne plus pouvoir rentrer dans ma robe, si vous voyez ce que je veux dire… »

Je me reculai, et regardai la jeune femme qui avait éteins sa cigarette. C’était étonnant les allures de petite fille que j’avais conservé, alors que Pandora ressemblait déjà à une grande dame faisant partie des aristocrates. Et puis, je remarquai quelque chose de très étrange. Je souris un peu plus et levai les yeux au ciel. Je fis signe de main à un jeune homme, qui se retourna en grommelant – c’était celui juste derrière Pandora.

« - Il me semble que vous ayez un admirateur ! lui soufflai-je, tout en montrant le jeune homme de la tête. »

Je lui lançai un regard plein de sous-entendus. Ce jeune homme semblait très intéressé par mon ami, et je trouvais cela incroyablement drôle ; pourquoi ? Aucune idée.

« - Mais, sinon, sur quelle enquête travaillez-vous dernièrement ? Si c’est trop personnel, je comprendrais ! lui assurai-je. »

Et puis, elle pouvait tout aussi changer la situation, ou alors juste me donner quelques détails croustillants. Peut-être avais-je eue vent de quelques ragots sur ces personnes, et que je pouvais lui donner un coup de pouce ? La serveuse revint finalement avec le thé de Pan’ ( meurs ) et sa tarte. Elle referait certainement un deuxième tour pour m’apporter ma commande.

« - Ne vous tuez pas à la tâche ! »

Mon amie avais une fois de plus plaisanté lorsque je lui avait compter mes péripéties. Comme il était bon de la sentir détendue et apaisé. Une fois encore l'image de l'enfant me revint en tête. Oui car on aurait cruellement dit une enfant, s'émerveillant de tout et de rien, regardant la vie avec ce sublime regard optimiste. J'avais passé commande, et la serveuse déjà avait posé son regard sur Lynn (hé hé moi aussi je trouve des surnoms qui déchirent * sors *). cette dernière tarda un peu à se décider, mais elle finit par opter pour un thé latté et une tarte à la pomme. Je m'extasier devant cette manière raffinée et féminine que Lynn avait de s'exprimer. Tout en finesse. Soudain elle inclina la tête vers moi. Je suivais le mouvement, et pus recueillir ses paroles dans le creux de mon oreille.

« - Il paraît que leurs pâtisseries sont plutôt grasses, et je n’aimerais pas ne plus pouvoir rentrer dans ma robe, si vous voyez ce que je veux dire… »

A cette remarque je sourit. C'était du Emelynn tout craché ! J'appréciais beaucoup qu'elle m'ait dit cela. Cela renforçait en moi le sentiment de compter pour elle. Je supposais en effet que l'on ne disait pas ce genre de choses à n'importe qui ! Toujours sur le même ton Emelynn me fit remarquer le jeune homme qui m'avait interpellé une dizaine de minutes auparavant. Elle avait donc finit par le remarquer. Elle avait l'œil. Le profil parfait d'une journaliste montante. Rapidement, ma compagne enchaina sur un autre sujet, mais le regard qu'elle décocha alors m'impressionna : il était de ceux qui ne s'oublient pas.

« - Mais, sinon, sur quelle enquête travaillez-vous dernièrement ? Si c’est trop personnel, je comprendrais ! »

C'est cet instant précis que choisi la jeune serveuse pour revenir, une partie de la commande à la main. J'étais gênée. C'était la mienne. Je préférais que l'un autres soit servi en premier. Par politesse.
Elle déposa ma pâtisserie et ma boisson sur la natte couleur dragée. L'assiette de la pâtisserie était couleur chocolat, le tout très bien disposer. On sentait que l'on craignait ici les remontrances de la patronne. La tarte était encore chaude, et une douce odeur de fruit mêlée à celle de la pâte s'engouffra dans mes narine. Je pris une grande inspiration, et me décida à m'expliquer, tout d'abord sur mon mystérieux « admirateur ».

« -Pour ce qui est du charmant jeune home derrière, sachez qu'il m'a proposé du feu il y a quelques minutes. Je n'ai pas refuser, seulement , il a ensuite chercher a entamer la conversation. Je l'ai éconduit, car je vous attendait. Mais ne vous inquiétez pas, il m'aura dés demain oubliée » expliquais-je en souriant.

La serveuse revint une dernière fois à notre table, cette fois ci avec la part de Lynn. L'idée du paiement me traversa l'esprit. Il faudrait que je songe à inviter mon amie. J'allais tout payer, il en allait de ma dignité. Mais mieux valait ne rien laisser sous entendre pour le moment : trop modeste, elle aurait certainement vite refusé.

« -A les affaires, et bien soit, je vous en parle. Pour tout dire, depuis quelques semaines maintenant, de nombreuse personnes appartenant à diverse classes sociales ont été enlevées. » exposais-je. « -J'ai même assister à l'un d'entre aux, c'est dire ! Et pourtant rien, je patauge et n'avance pas d'un pouce. Je sais seulement qu'il n'agit pas par hasard, et que les victimes doivent avoir un point commun. Si vous savez quelque chose n'hésitez pas ! Je suis preuneuse ! »

Je me rendais alors compte que je ne lui avait pas demander grand chose. Mal polie que je suis. Je m'acquérait alors de l'avancement de ses travaux professionnels.
« -Mais et vous, écrivez vous un article qui captivera l'opinion publique en ce moment ? »

Je bus une gorgée du thé à la vanille, en attendant la suite.