▬• Identity card •▬

Ça c'est moi ! © Misstro

Commençons par le commencement ▬ ~~ •• ~~ ▬ Je suis une petite aristocrate ! NOM : DARTMOOR-HAAL PRENOM : Louisa AUTRES PRENOMS : Elizabeth, Anne ▬ ~~ •• ~~ ▬ AGE : 16ans NE(E) LE : 17/09/1842 A : Dartmoor Hall ORIGINAIRE DE : Princetown, Angleterre. HABITE : 82, Strand, Londres ▬ ~~ •• ~~ ▬ GROUPE : aristocrates. CELEBRITE CHOISIE : Lucy Boynton Pictures or music

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▬• My Story •▬

Quelle est mon histoire ?
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Once upon a time...

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UNIVERSITE D’OXFORD – 1857

La jeune fille referma le livre en soupirant. Voilà bientôt une heure qu’elle patientait dans cette salle lugubre, attendant que la directrice sorte enfin du bureau dans lequel elle s’était enfermée.
L’entretien prenait déjà près d’une demi-heure de retard, et Louisa soupira en jetant un œil à la vieille horloge qui égrenait dans un tic-tac ses secondes répétitives. Le cours d’histoire débuterait bientôt, et Louisa détestait rater ne serait-ce qu’une minute de ce cours. Miss Potter mettait un point d’honneur à ce que ses élèves soient à l’heure, et Louisa craignit qu’un éventuel retard ne fasse froncer les sourcils du professeur, malgré ses excellentes notes.

Baissant les yeux, elle posa son regard sur ses souliers de cuir. Ils n’étaient pas aussi parfaits que l’école le souhaitait, et dans un geste machinal, est frotta le bout terni de sa chaussure sur le tissu de sa robe, afin de le faire briller, avant que la directrice ne s’en aperçoive.

Louisa releva la tête, et son regard se perdit dans les paysages lointains, au-delà de la fenêtre. Elle ne voyait pas le sol de la cours du collège, mais n’apercevait que la cime des arbres, et le ciel qui s’étendait dans l’horizon. Le soleil pointait ses rayons timides sur les feuilles vertes du printemps, et la luminosité printanière égayait enfin le paysage.
Même après quatre ans dans ce collège, elle ne se lassait pas de cette vue, et de cette sensation qu’elle ressentait lorsqu’elle l’apercevait au loin.

Néanmoins, chaque retour chez elle était un bonheur indescriptible. Revenir auprès des siens, dans cette campagne qu’elle affectionnait tant, lui permettait de se reposer, et à nouveau, elle retombait dans cette enfance insouciante, à courir dans les champs d’herbes hautes, avec ses frères et sœurs.
Ce passé si proche avait encore ce goût de frivolité et d’innocence, aux yeux de Louisa. Il paraissait si parfait, si éloigné de la réalité du monde ! Sa venue à Oxford, aidée financièrement par leur oncle Garrett Mac An Bhaird, lui avait ouvert les yeux, et le monde véritable lui était sauté à la gorge.
Elle se souvint de son arrivée à Oxford, comme toutes ses arrivées dans ces endroits qu’elle ne connaissait pas ! Ce nom de Dartmoor-Haal bruissait toujours parmi les personnes présentes, et celles-ci s’attendait à voir arriver une jeune fille digne de ce nom.

A ce souvenir, Louisa émit un petit sourire. Elle se revit, quatre ans plus tôt, débarquant dans cet immense hall du collège le plus huppé d’Angleterre. Ses chaussures boueuses par la pluie incessante à l’extérieur, et son bas de robe duquel s’échappaient de grosses gouttes d’eau. Ses cheveux emmêlés, flamboyants malgré la pluie qui dégoulinait encore sur ses épaules frêles. Elle tenait à la main sa vieille valise de cuir, et à ses côté, Nann, sa nourrice, qui avait remplacé sa mère, malade, pour ce long voyage.
Face aux regards éberlués de l’assemblée de jeunes filles impeccablement vêtues et coiffées, Louisa contint un sourire moqueur.

A nouveau, aujourd’hui, ce même sourire vint étirer silencieusement les lèvres de la jeune fille. Elle s’était toujours raillé de l’attitude trop précieuse de certaines pensionnaires ; elle venait de cette campagne du Dartmoor, dont elle portait fièrement le nom, à la suite de ses illustres ancêtres, et rien ne saurait lui retirer cette fierté, ni ce caractère naturel, parfois sauvage, qu’elle possédait depuis son plus jeune âge.

Ces souliers vernis ne pourraient l’empêcher de courir, de jouer ou s’amuser ; ces nattes qu’elle était obligé de faire et de défaire chaque jour ne pouvait être pour elle un carcan, ni même ces robes toutes identiques, qu’elle se devait de repriser à chaque vacances, sous peine d’avertissements.

Ces paysages qui s’étendaient devant ses yeux, au-delà des fenêtres de cette prison dorée, était pour Louisa cet appel à la liberté. Malgré les agréables souvenirs qu’elle avait de Londres, elle n’oubliait pas ses racines, et son caractère le lui rappelait sans cesse.

Un bruit de porte claquée la fit sursauter, et tira Louisa de ses rêveries. Elle se redressa, comme ses professeurs le lui avaient appris, et sur un geste silencieux de sa directrice, entra à sa suite dans le bureau.

Ses pieds s’enfoncèrent dans le tapis moëlleux recouvrant le parquet ciré. Dos à la fenêtre, le bureau d’acajou trônait majestueusement, et Mrs Blendwood s’installa dans le fauteuil de velours vert.
Debout, les mains croisées derrière le dos, Louisa attendit sans un mot la suite de l’entretien qui débutait à peine. Elle fixa les longues mains blanches et ridées de la directrice, et celle-ci, ses yeux perçants posés sur la jeune élève au travers de ses lunettes d’écaille, joignit le bout de ses doigts, et se pencha vers la jeune fille.

Sa mine sévère observa ainsi Louisa durant quelques secondes, et après un léger soupir, Mrs Blendwood rompit enfin le silence pesant.

-Vous me posez des problèmes, Miss Dartmoor-Haal.

Louisa se mordit la lèvre inférieure, et baissa silencieusement les yeux.

-Vous êtes incontestablement douée. Vos professeurs ne tarissent pas d’éloges sur vos notes.

Mrs Blendwood marqua à nouveau une pause.

-Mais votre attitude gâche vos capacités, Miss Dartmoor-Haal ! Selon votre professeur d’arithmétique, votre insolence frise l’irrespect ; votre professeur de sciences naturelles ne cesse de pester contre vos bavardages intempestifs, et Miss Alysbury grogne contre votre manque de concentration lors des cours de dessin.

Louisa ne releva pas le regard, et adopta une mine contrite. Elle excellait dans cet art de la comédie, même si ses émotions la trahissaient parfois.

-Je ne vous cache pas que je suis excédée !

Mrs Blendwood repoussa son fauteuil, et se levant, fit quelques pas vers la jeune fille.

-Vous oubliez sans doute que vous êtes à Oxford, Miss Dartmoor-Haal, que votre nom ne vous autorise en rien à agir ainsi, et que les règles établies dans ce collège ne sont pas simplement une décoration au-dessus de votre lit !
J’insiste pour que votre attitude change, Miss Dartmoor-Haal, ou je me verrais dans l’obligation de prendre des mesures radicales.

Votre oncle sera certainement déçu de savoir que sa mise puisse être perdue à cause d’une nièce écervelée !

Est-ce clair, Miss Dartmoor-Haal ?

Louisa hocha lentement la tête.

-Oui, Mrs Blendwood. J’essaierais de faire des efforts.

-Vous essaierez ?

-Je…ferais…des efforts, Mrs Blendwood,reprit Louisa dans un accent d’excuse.

-J’y compte, trancha la directrice. A présent, hors de ma vue, Miss Potter vous attends.

Mrs Blendwood claqua la porte derrière la jeune fille, qui sorti de la pièce en cachant sa mine bougonne. Elle n’était pas insolente, seulement…franche ! Elle détestait cacher ses sentiments, tant que ceux-ci pouvaient éviter l’injustice.
Tout en longeant les couloirs, ses talons claquant sur le sol boisé, elle songea à Eulalie des Isarn. Son amie lui reprochait souvent de n’en faire qu’à sa tête, et malgré ses recommandations, Louisa ne pouvait s’empêcher de se placer dans des situations impossibles.

Son franc-parler, sa curiosité naturelle la poussait à s’éloigner des limites, et son esprit aventureux la menait parfois dans des sentiers trop escarpés pour la jeune citadine qu’elle devait devenir.
Pour Louisa, chaque instant de liberté était gâché si elle n’avait élaboré quelque sortie à venir, ou petit mystère à découvrir. Son esprit tournait aussi vite que les rouages d’une machine, et ses dons d’observatrice lui faisaient résoudre les petites énigmes quotidiennes, qui égayaient bien souvent les soirs de ses camarades, lorsqu’elle racontait avec brio ses exploits.
Par ses talents d’actrice, elle aimait à enjoliver ses petites aventures, afin de faire rire ses compagnes de chambre.

Tout en marchant, elle laissait courir ses doigts sur les lambris vernis du couloir, laissant son esprit vagabonder.
Ce soir, elle pourrait raconter comment elle aurait pu tenir tête à cette chouette de Blendwood, mais comment sa charité naturelle l’en avait empêché ; cette petite perspective la fit sourire d’avance. Elle ? Charitable ? Louisa l’était, certes, mais elle savait mettre rapidement ses valeurs de côtés, si le jeu en valait la chandelle.

Elle avait lu tout Machiavel, et comme elle s’inspirait bien souvent de tous ces auteurs qu’elle lisait, elle avait aisément adopté cette devise : « La fin justifie les moyens ». Louisa savait mettre de côté les scrupules qu’elle pouvait avoir, quitte à regretter par la suite ses gestes ; elle préférait vivre l’instant présent, comme elle avait toujours fait !

Le fil de sa pensée l’avait conduit jusqu’à la classe de Miss Potter, et elle toqua doucement à la porte, avant de l’entrouvrir en silence, une lueur d’excuse dans le regard.

-Ah ! Miss Dartmoor-Haal ! Entrez, dépêchez-vous, j’allais justement parler de vos ancêtres !

Louisa émit un sourire forcé, et trottina jusqu’à sa place, derrière son petit pupitre de bois. Les autres élèves lui jetaient des regards goguenards, observant ses cheveux décoiffés, et sa robe élimée aux coudes.
Sans leur adresser un regard, Louisa sorti ses affaires, et le cours l’absorba totalement. Ses ancêtres, avait précisé Miss Potter ?
Les comtes de Dartmoor. Proches voisins du duché de Devonshire, avant que celui-ci n’achète les terres familiales, près de 40ans auparavant.

Ce passé était peu glorieux, et le lui rappeler faisait naître une petite boule qui jouait dans l’estomac de Louisa. Miss Potter se sentait-elle obligée de rappeler l’immense fortune passée des comtes de Dartmoor ? Devait-elle préciser comment, par le jeu, par la disgrâce et le complot, Hugh Haal, son arrière-grand père, du vendre son comté au duc de Devonshire ?
Ces détails sordides lui rappelaient le dénuement des descendants de Hugh Haal. Ceux-ci avaient plongés au fond de la mémoire collective, et en vingt ans, le nom de Haal ne résonnait que faiblement, provoquant chez les plus anciens des réminiscences du passé. Chez les plus jeunes, il sonnait comme une légende, et l’on s’étonnait encore de croiser les descendants du comte Hugh of Dartmoor.

Louisa ne regrettait pas cette célébrité oubliée, mais bien souvent, elle tentait d’imaginer sa vie, si Hugh Haal avait su s’éloigner du jeu et des paris. Ses camarades ne l’observeraient certainement pas ainsi, et la directrice elle-même devrait s’incliner, tant l’orgueil de Louisa aurait éclipsé son éducation humble.
Ses robes n’auraient eu nul besoin de retouches multiples, et leur oncle Garrett aurait gardé cet argent.

Le menton posé dans le creux de sa main, Louisa se perdit dans ses souvenirs. Les hivers à Dartmoor Hall étaient certes loin, mais les brises qui lui glaçaient le sang restaient bien présentes en sa mémoire. Même l’odeur du feu crépitant dans la cheminée, alors que la fratrie écoutait Edward, l’aîné, lire les proses de Shakespeare, ne pouvait la quitter.
Ces instants lui manquaient, mais Louisa ne pouvait rejeter la vie qu’elle menait à présent à Oxford.

Elle avait rencontré Eulalie des Isarn, cette si chère amie française, d’un an son aînée, mais qui lui ressemblait tant, que leur amitié ne pouvait que se confirmer.
Elles partageaient de nombreux moments de joie, de petits plaisirs d’intrigues, de facétie, ou ces instants plus douloureux, pendant lesquels l’une et l’autre se confiaient.

Louisa redoutait l’année qu’elle devrait passer sans Eulalie, lorsque celle-ci quitterait le collège. S’écrire deviendrait indispensable ! Sans elle, Louisa ne pouvait trouver tant d’histoires à raconter ! Eulalie était comme son double, cette muse qui l’inspirait dans ses grandes ou petites œuvres !
Une seule année fut suffisante pour sceller leur amitié. En y repensant, Louisa ne pouvait retenir un sourire ; ces amitiés tenaient parfois plus longtemps et surement que les anciennes !

-Miss Dartmoor-Haal, êtes-vous avec nous ?!

Louisa sursauta, et parcourant la salle du regard, s’aperçu que toutes les têtes de ses camarades se tournaient vers elle. Se redressant d’un port de tête altier, elle sourit pour s’excuser, ignorant les railleries.

-Je vous prie de m’excuser, Miss Potter.

La jeune femme hocha la tête en souriant, et continua son cours, habituée aux courtes rêveries de sa meilleure élève.




DARTMOOR HALL ~ PRINCETOWN – 1858

« Ma chère Eulalie ;

Je ne peux résister à l’envie de t’écrire, même si ma précédente lettre date de la semaine dernière !
Joyeux Noël, ma chère Eulalie !! Que cette nouvelle année qui s’annonce te comble de bonheur !

Te souviens-tu de cette étoile filante, dont je t’ai parlé cet été ? Ce fabuleux téléscope que nous a offert oncle Garrett nous a permis d’en voir bien d’autres, tant, que nous avons tous décidé de faire des vœux ! Edward s’est évidemment moqué de nous, mais Léonore n’a pu résister à cette envie.
Mais je crois aujourd’hui qu’Edward a bien eu tort de se moquer de nous ! Tu sais sans doute que mon plus grand souhait est de te voir plus souvent !

Ce vœu se réalise aujourd’hui, Eulalie !!

Je n’ai pas cru à cette proposition d’oncle Garrett ! Il est venu chez nous samedi dernier, et a demandé à papa et maman de m’envoyer à Londres, afin de parfaire mon éducation.
Ils ont bien sûr refusé, comme ils avaient refusé cette inscription à Oxford, mais Edward, que Dieu le bénisse, a su les en convaincre.

J’arrive donc dans six jours à Londres, dans l’immense maison d’oncle Garrett ! Je meurs d’impatience depuis une semaine, et tu te doutes que mes affaires sont déjà prêtes ! J’ai tant de choses à te dire de plus, et je suis certaine que tu en as de nombreuses à me dévoiler !

Comment est Londres, à cette époque de l’année ? Neige-t-il ? Le Dartmoor est toujours aussi froid et humide, il me tarde de voir la neige !

Le duc de Devonshire est venu, il y a deux jours, et son attitude a beaucoup changé. Je crois que monsieur Cavendish a enfin oublié les rancœurs que ses ancêtres ont pu avoir envers les miens. Papa était très content de cette visite !

Maman a enfin acheté une nouvelle robe pour Léonore. Je te précise cela, car tu n’es pas sans savoir qu’elle l’a refusé très longtemps, sous ce fallacieux prétexte de la taille de Léonore ! Edward et moi avons du insister, afin qu’elle lui en offre une neuve pour ses quinze ans.
Je te laisse deviner ce qu’il advient de sa vieille robe… ! Nann a du la repriser, et la donner à Emily…c’est, du moins, ce que maman croit !
Malgré le nouveau travail de papa auprès du notaire de Princetown, maman a toujours peur que nous retombions dans la situation dans laquelle nous avons été il y a bien longtemps. Je pense qu’elle le comprendra petit à petit !

Enfin, sais-tu que j’ai repris mes cours de danse ? J’ai écris à Miss Alburton pour le lui annoncer ! Ses cours à Oxford ont été d’une immense aide, et aujourd’hui, je pars avec Mrs Gebbert, notre voisine, prendre des cours avec sa fille Emma à Princetown.
Oncle Garret m’a dit qu’il m’inscrirait dès mon arrivée dans un des meilleurs cours. Je t’avoue que j’appréhende cette arrivée, mon niveau est loin d’être excellent, et tu sais que, comme toujours, les gens me croient toujours plus jeune que je ne le suis. J’ai peur d’être encore regardée de haut, comme toujours !
Sais-tu qu’hier, en achetant des rubans, le vendeur m’a presque appelé petite fille ?! Nann en a été offusquée, même si je préfère en rire !

J’ai donc préparé mes malles depuis bien longtemps, ai dépensé toutes mes économies pour ce futur voyage à Londres, et j’espère vraiment t’y retrouver ! Ne connaissant pas la ville, dis-moi où nous pourrions nous retrouver, et j’y traînerait oncle Garrett !

Ma chère Eulalie, je t’envoie mille affections, en attendant impatiemment nos retrouvailles. Six mois, cela est trop long !

Affectueusement,

Ta Louisa. »

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▬• Retour au XXIème siècle •▬

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Qui se cache derrière l'écran ?
▬ ~~ •• ~~ ▬

Bienvenue sur FTP !!!!!! Voilà notre "passionnée" que nous attendions tous avec impatience !!
Eulalie des Isarn nous a parlé de toi et sache que c'est vraiment très gentil de nous rejoindre même en temps de crise --' mercii beaucoup ça nous fait vraiment très très plaisiiiir !!
Je n'ai pas le temps de lire ta fiche qui est très longue et il me tardevraiment de lire l'histoire, donc je lis ça demain et je te validerai ensuite si tout va bien (mais je sais déjà à l'avance que tout est parfait ^^ ) !!
Et ton code est validé !!
Au passage, j'adoore ton avatar qui te représente ^^ trop rigolo, vive mcdo et scrat quoi xD !!!!

Argh, me voilà démasquée ^^

A vrai dire, FTP me titille depuis bien longtemps, mais je n'avais jamais eu le "tilt" pour un personnage coup de coeur ou autre...Eulalie m'a bien aidée sur ce point ^^


Merci pour cette première validation ^^ et pour l'avis de la fiche



Mon vava? Ben il est très bien, tss tss

Haaaaaaaaaaaaaaaaan ! Ma Louisa ! Enfin te voilà !!!

Bienvenue Bichette !!!

Hâte de rpiser avec toi !

J'étais si longue que ça ma Eulalie??



Merciiiiii, hâte itou
(en mode 14ans devant Twilight )

Bienvenue !!

Wao...tant de compliments...je ne suis pas habituée

Un immense merci pour ma fiche, et pour cette validation ^^
(oui, j'avoue, j'adore faire les fiches de présentation...je me lâche toujours ^^ )

Pour l'aristocratie, j'y ai songé, car j'avais suivi la validation d'Eulalie, j'ai donc fais en sorte qu'elle ne soit pas aussi riche et puissante que les autres, c'est tout aussi intéressant!


Allez...je file faire toute la paperasse qui m'attend pour mes liens ^^


Encore merci!! \o/

Il faut s'y habituer, voyons (a)

Non sinon, je me demandais, qu'entends-tu par "fiche difficile" ? Difficile de s'y retrouver, ou trop en longueur ? =)

Ben...je ne suis pas douée en HTML, et dans tous les codes, je me suis un peu perdue, quand il a fallu remplir les champs ^^
Je voulais supprimer les parties "inutiles" que je n'ai pas remplies, sans devoir supprimer par erreur les style de police des restantes, etc...


(j'avoue, j'ai rempli quatre fois pire, j'avais du tout laisser en état et demander de l'aide aux admins )

Rah c'est ce que je me disais pile tout à l'heure, du coup je me baladais sur les fiches et c'est là que je suis tombé sur ta remarque.. on est donc d'accord Merci de l'avoir signalé en tout cas et bravo du résultat x)