▬• Identity card •▬

Ça c'est moi ! © Maybe Tomorrow

Commençons par le commencement ▬ ~~ •• ~~ ▬ Je suis un(e) petit(e) contemporain(e) ! NOM : Willington ; Le nom de son acteur de père et qui lui odnne accès au carré VIP. Enfin, qui lui DONNAIT accès... PRENOM : Maëlle ; un prénom français, comme l'est sa mère. AUTRES PRENOMS : Rebecca ; le prénom que portait la mère de sa mère. ▬ ~~ •• ~~ ▬ AGE : 17 ans. NE(E) LE : 17/11/1992 A : New-York City ORIGINAIRE DE : Manhattan, à New-York City au Nord-Est des Etats-Unis d'Amérique. HABITE : Le centre de Londres, la City, Cornhill. ▬ ~~ •• ~~ ▬ GROUPE : Contemporains. CELEBRITE CHOISIE : Taylor Momsen Pictures or music (ne mettre que des icônes 100*50)

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▬• My Story •▬

Quelle est mon histoire ?
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Vous allez devoir choisir entre les deux sujets : le 1) ou le 2). Après avoir choisi une de ces deux options, effacez l'autre et remplissez le sujet que vous avez choisi.

Once upon a time...

..1) WRITE YOUR STORY :

Maëlle le savait et elle l’avait toujours sut. Elle l’avait sut dès qu’elle avait glissé son pied dans son premier chausson. C’était là qu’elle avait sut qu’elle avait était choisit, choisit par la Danse elle-même, et qu’elle serait ballerine. Sans prétention, elle avait affirmé à ses parents qu’elle deviendrait la plus grande étoile que le monde ait jamais connut. Au fon d’elle, elle l’avait toujours sut, elle lui avait simplement fallut un déclic. Son père ne cessait de lui répétait qu’elle avait sut danser avant de savoir marcher. La fillette savait pourquoi, elle avait la danse dans le sang, non, mieux que ça. La danse était son sang, son oxygène, sa vie, elle en avait besoin comme le commun des mortels à besoin de boire pour survivre. Née d’un père acteur et d’une mère top model, la petite n’avait jamais eut une vie que l’on pourrait qualifier de normal, et elle ne s’en était jamais plaint. C’est vrai, ses parents n’était pas beaucoup, c‘est vrai, il ne s’occupait pas vraiment de leurs trois enfants, et pourtant ils les aiment, mais ils les aiment juste un peu de travers. Alors Maëlle à grandit avec une nourrice et entouré de sa grande sœur, la belle Tamara Willington, et de son grand frère Fred Willington. Elle a toujours vécut à New York, dans sa belle grande demeure du quartier de Manhattant. Et oui, une vie un peu à part, dans laquelle Maëlle fréquentait des école privés, prenait des cours de chant, de violon, de piano ou encore de guitare, un monde dans lequel son nom lui permettait d’avoir des places pour le premier rang à la Fashion-Week ou qui lui permettait d’entrer dans les soirées les plus sélectes de New York. Vous l’aurez compris, la demoiselle n’avait pas à se plaindre. Et pourtant elle se plaignait tout le temps, mais voilà un trait de caractère qui lui donnait de la personnalité et qui faisait son charme… Mais ce que la blondinette aimait les plus ce n’était ses places pour les défilés, ses entrées aux soirées, sa maison, sa prestigieuse école. Non ; tout cela n’était rien à côté de la Danse. Très vite, Maëlle à passer des auditions pour entrer dans la plus grande école de danse de tout les Etats-Unis, une grande école de danse de New-York. Sans grande surprise, elle fut acceptée haut la main. Elle savait qu’elle avait était choisit pour être danseuse, c’était une volonté divine, et elle y croyait dur comme fer. Et cette école était la plus grande fierté de la belle, surtout car il ne suffisait pas d’avoir des parents riche et célèbre comme les siens pour y être accepté, pas ici. Il fallait aussi montrer un talent exceptionnel pour le noble art de la danse. Elle avait alors dix ans. Elle a abandonnée son école et est entré en tant que danseuse dans cette grand école, une place envié par toute les danseuse du monde. Ses cours de danse duraient toute la journée. Ils commençaient à huit heures pour se terminer à vingt heures trente, le soir, été comme hiver, y compris pendant les vacances pour les plus courageux des jeunes danseurs. En attendant, elle suivait des cours par correspondance. Et oui, si elle était entrée ici, c’était dans le but de devenir Ballerine, pas pour faire deux grands jetés comme toute les cloches qui s’essayent à la danse sans parvenir à être autre chose qu’insipide. Maëlle apprenait là-bas le tango, le jazz, la salsa, elle avait des cours de caractère et occasionnellement, des cours de hip-hop, mais elle avait surtout des cours de classique, sa discipline favorite. Comme à son habitude, la petite fille a très vite excellé dans chacune de ces disciplines. C’était une de ses grandes qualités, quand Miss Willington fait quelque chose, elle se donne à fond, et son obstination lui est toujours d’un grand secours. Et elle fera tout pour y arriver, même si elle doit employer des moyens peut recommandable. Le fait qu’elle soit une manipulatrice de grand talent l’aide beaucoup pour satisfaire ses nombreux caprices. Mais après tout, qui oserait s’opposait à la princesse de New York, elle que l’on sait si colérique et qui à pour habitude de réduire ses ennemis à néant. Malgré tout ses défauts, les gens veulent être apprécier de la belle, car c’est aussi une bonne amie, attentive et loyale envers eux qu’elle aime, et d’un courage proche d’une stupide témérité quand il s‘agit d’agir. Mais c’est si touchant, quand elle vous regarde avec ses grands yeux bleu innocent, un air d’ange se dessinant sur son visage si pâle… Son arrogance ne gâche rien, c’est vrai, elle est douée pour la danse, et elle le sait, elle en deviens un brin orgueilleuse et se rengorge quand on lui dit qu’elle à l’étoffe d’une ballerine. La modestie ne fait pas partie de ses qualités, il est vrai, mais personne ne lui reprochera, il faut bien dire que malgré son caractère de cochon, elle est très entouré, et heureusement pour elle, car elle ne supporte pas la solitude, elle à en permanence besoin d’affection et d’être le centre d’attention. Les années étaient passées, comme à leur habitude. C’était une habitude qu’avait le temps, il passait, inlassablement, sans qu’on puisse le retenir, tout comme le vent, il vous filait être les doigts. Mais passons. Maëlle avait à présent seize ans, et son apprentissage en tant que ballerine avait bien avancé. Il était même sur le point de faire un immense bon en avant.

Le quinze Janvier 2008.

Elle avait était convoquée au Studio Taglioni à quatorze heures précise. Et aucune autre fille de sa connaissance ne l’avait était. Flattée, intriguée, mais aussi relativement anxieuse, elle s’observa dans la glace du vestiaire qu’elle partageait avec toutes les filles de son âge de l’école de danse. Elle avait enfilé sa tenue habituelle, la tenue que portait les danseuse entre seize et dix-sept ans, un justaucorps rose pâle, des collants à peine plus foncé, des demis pointes usés par le travail rose, un équipement complet qu’il fallait acheté à l’école. Maëlle s’observa avec attention. Les pieds bien en dehors, le dos droit, en position tenu, un chignon blond tirant en arrière ses cheveux, dont pas un seul ne s’échappait… Il fallait être absolument parfaite dans cette école. Les grands yeux bleus de la blondinette trahissaient son appréhension. Les stagiaires qui partageaient momentanément le vestiaire des élèves la regardaient sans comprendre, tandis que les camarades de Miss Willington se jetaient des regards interrogateurs. Charlotte fut la première à rompre le silence.

[size=9]CHARLOTTE ;; [/b] Tu vas finir par te noyer dans le miroir à force de t’y admirer… Pauvre cruche.

Les deux derniers mots, ajoutés tout bas, n’échappèrent pas à la cruche en question. Elle se tourna vers celle qui avait osé prononcer ces mots. Victoria avait déjà réagit et s’adressait déjà à Charlotte.

VICTORIA ;; [/b] De quoi tu te mêle toi ?

CHARLOTTE ;; [/b] Toi la boursière, on t’a rien demandé !

ELLINE ;; [/b] Y pas de honte à être boursière…

CHARLOTTE ;; [/b] Moi j’aimerai pas.

MAËLLE ;; T’inquiète, sa t’arrivera jamais, pour être boursière, il faut du talent.

La remarque lancée par Maëlle sembla achever l’autre. Les filles ricanèrent tandis qu’elle levé les yeux au ciel. Personne n’appréciait Charlotte, toujours à se mêler de ce qui ne la regardait pas, à aller fayoter de tout les côtés et à jalouser le monde. Miss Willington embrassa sur la joue Victoria.

MAËLLE ;; J’y vais Vicou, j’te raconterais. Bisoux les filles !

Les danseuses adressèrent des signes de la main et des encouragements à leur camarade qui quitta le vestiaire, sous le regard des stagiaires, médusées. Elle passa devant le vestiaire des garçons pour se rendre au studio et entendit son prénom. Elle s’arrêta une seconde et reconnut la voix de James, son ex petit ami. Elle continua et entra dans le studio. Une femme l’installa à la barre. Après elle, entrèrent des étudiants qu’elle ne connaissait même pas, tous plus âge qu’elle, des filles comme des garçons. Les femme, habillés d’un survêtement noir et d’un simple T-Shirt blanc aurait put passer pour une femme de la cinquantaine normal, sans son dos bien droit, son port de tête royale, son chignon serré… * Un corps et un maintien sculpté par la danse* songea la belle. Une ancienne étoile, on le remarquait au premier coup d’oeil. Elle se présenta comme étant Elizabeth Sander, et Maëlle la reconnut, elle l’avait vu en couverture de plusieurs vieux magazines. Autour d’elle, ceux qui semblaient être des chorégraphes l’écoutaient. Elle installât en tailleur, face à elle, tout ceux qu’elle avait réunit, et la jolie blonde compris que tous était des danseurs. Elle jeta un regard circulaire à l’assemblé, ils étaient bien une cinquantaine, en comptant les chorégraphes.

ELIZABETH ;; Bien, mesdemoiselles, messieurs, écoutez-moi bien, ce que j’ai à vous dire est de la plus haute importance. Savez vous pour quoi vous êtes ici ? Vous êtes ici car vous être les meilleurs. Les meilleurs jeunes danseurs de tout le continent américain. Pendant plus d’un an, des spécialistes ont sillonnés le continent, et une liste de nom m’a était fournit. Les vôtres. Vous être quarante, vous venez des quatre coins de l’Amérique, et chacun d’entre vous a le potentiel d’être un jour un danseur de haut niveau, applaudit dans le monde entier. Mon travail est de réunir les meilleurs danseurs de l’Amérique pour monter le plus spectaculaire ballet de jeunes danseurs de tout les temps. Pendant plusieurs mois, il vous faudra dire adieux aux vacances, au cours normaux, une nouvelle vie commencera pour vous. Vous logerez dans une résidence, votre loyer est payé d’avance, mais le reste est à votre charge. Que les choses soient claires, c’est un travail dur, certain craqueront, seuls les meilleurs auront la chance de figurer sur le devant de la scène. Vous pouvez partir si vous ne vous sentez pas à la hauteur de la tâche.

Un lourd silence suivit les paroles de l’Etoile. C’était un test. La danse était un art complexe nécessitant à la fois le physique, mais aussi le mental. Et comme dans chaque sport, seuls les meilleurs pourront «percer dans le métier». Personne ne bougea. Maëlle sut alors que le combat venait de s’intensifier. Mais elle avait l’habitude. Sa vie était un perpétuel combat, elle devait sans cesse se battre, avancer pour ne pas céder sa place. « Si tu t’arrête, tu reculera » avait un jour dit un de ses meilleurs amis. Cette fois, ses adversaires étaient de taille, tous étaient des danseurs accomplis, mais la jolie blonde ne se laissa pas abattre. Elle méritait sa place, elle le savait. L’Etoile demanda alors aux danseurs d’ôter guêtre et cache cœur et de se mettre à la barre. Miss Willington se plaça à sa place habituelle, devant, en tête. Elle ne fit pas attention aux autres. Seul la danse comptait, la danse, et ce qu’elle voyait dans le grand miroir où se reflétait tout les danseurs. En tête, une belle jeune fille blonde se dressait, fière, le dos parfaitement droit. Son teint pâle et ses cheveux serrait en un chignon faisait ressortir ses deux grands yeux couleur d’un ciel d’été. Ses pommettes étaient déjà rouges de plaisir, contrastant avec la pâleur habituelle de son teint. Son nouveau professeur annonçait les mouvements de base, les étirements. Quand la musique s’égraina, elle se lança et entra dans la danse avec un plaisir rare.

Il était vingt heures trente, Maëlle s’affala sans grâce ni délicatesse sur le banc, au côté de Nolan. Celui-ci eut un sourire moqueur tandis que la blondinette souffla, les yeux fermés, la tête reposée contre le mur. Filles et garçons étaient à présent entassés ensemble dans une espèce de salle de débriefing. Toute la journée ils avaient travaillés, répétés un début de chorégraphie, poussés leurs muscles au bout, sans même prendre le temps de respirer. Après la pause de midi, on avait séparé en deux les filles des garçons pour leur faire travaillait des exercices différents. Maëlle savait ce qui était en train de se passer. Chaque ballet avait ses solistes. Ils allaient enfin savoir de qui il s’agissait. Elizabeth et sa smala de chorégraphe entrèrent. Maëlle et Nolan se redressèrent d’un même mouvement. Tout les deux ne se connaissait que depuis quelques heures mais avaient déjà bien sympathisés.

ELIZABETH ;; Bien, comme vous vous en doutez, à la fin de cette harassante journée, nous avons put déterminé les rôles. Je commencerais par les solistes. Chez les filles, la soliste sera Miss Maëlle Rebecca Willington. Chez les garçons, il s’agira de Mr. Nolan Valentin Bloom. Vous danserez aussi les pas de deux du ballet. Soyez bien conscient que votre travail sera plus dur, il vous faudra être plus assidue que n’importe qui.

Les concernés se prirent la main, et quand la jolie blonde jeta un regard à son nouvel ami, elle vit que son visage rayonnait de bonheur. Et Maëlle n’entendit plus rien à partir de là. Les premières lignes ne l’intéressaient pas. Elle avait un rôle bien à elle, elle danserait un pas de deux avec Nolan. Elle avait réussit. Elle était la plus jeune du groupe, et pourtant, elle avait réussit, son talent l’avait donc une fois de plus emporté sur son jeune âge. Plus tard, on emmena les garçons dans leur vestiaire. Les filles sourirent à la nouvelle soliste. Miss Willington savait qu’un brin de jalousie subsistait, mais ses filles ne lui en voulaient pas, elles étaient heureuses pour elle. On voyait bien qu’elles étaient plus vieilles que les habituelles camarades de Maëlle. En sortant du vestiaire en compagnie de Lydie, Elise, Léa et Damira, elles passèrent devant le vestiaire des garçons. Toute les cinq se stoppèrent en entendant une fois de plus le nom de Maëlle. C’était la voix de Fabien, âge de vingt-deux ans.

FABIEN ;; Et la petite Maëlle, vous en dite quoi ? Elle pense quand même qu’elle est la meilleure danseuse de la troupe…
MAXIME ;; C’est peut-être vrai…
NOLAN ;; Peut être ? Tu rigoles ? On à vu danser la même Maëlle ou pas ? Cette fille EST la meilleure, et ça crève les yeux. Mais ça, ça vous dépasse, et vous savez pourquoi, parce qu’elle est plus jeune que nous tous, et qu’elle à déjà plus de talent.
MAXIME ;; C’est vrai qu’elle à quelque chose en plus, quelque chose que je ne connaissait pas avant de la voir danser. Et puis elle est jolie, c’est pas toi qui dira le contraire Nolan je me trompe ? Tu à l’air de déjà bien aimer la cadette…
FABIEN ;; C’est vrai qu’elle est vraiment jolie, mais Damira est pas mal non plus… Si elles deviennent amies toute les deux, elles vont faire des ravages.

Ne voulant pas en entendre le plus, les cinq filles pressèrent le pas, Maëlle et Damira échangèrent un sourire complice. Les prévisions de Fabien étaient sur le point de se réaliser. Damira, la jolie brune aux yeux noisette, et Maëlle, la petite blonde aux yeux bleus risquait fort de devenir amies. Damira Wilson venait de Mexico, elle avait un rôle au premier rang du corps de ballet et apparemment un tiquet pour le cœur du beau Fabien. Maëlle, elle, pensa au parole de Nolan et en rougit involontairement, il faut dire qu’il lui plaisait bien, ce jeune homme venu de Los Angeles qui, du haut de ses vingt ans, avait fière allure et était regardé avec grand plaisir dans la rue.

Deux heures plus tard, au téléphone.

MAËLLE ;; Vicouuuuuu ! J’ai pleins de truc à te dire ! C’est énorme ! Charlotte va en faire un infarctus !!

Et oui, la belle n’avait qu’une seule parole. Et elle ne pouvait pas laisser tomber comme ça sa meilleure amie, sa Victoria à elle, celle qui ne l’avait jamais laissait tomber.

Une nouvelle vie, au XIXème siècle.

Le ballet avait était un triomphe. Et la vie de Maëlle un conte de fée. Après de longs mois d’un travail acharné, la grande représentation avait enfin eut lieu. Et le succès avait était tel, que la troupe s’était produite dans toute l’Amérique. Maëlle, Nolan, Damira et Fabien avait était repéré, ils étaient appelés à être de grands danseurs. La blonde et le beau Nolan avait entretenu, pendant six mois, une relation idyllique, avant que Miss Willington, lors d’une soirée un peu top arrosé, dépasse les limites de la simple amitié avec un jeun homme qui n’était pas Nolan. Quand celui-ci avait vu sa petite amie en embrassait un autre, sa colère avait éclaté provoquant une immense bagarre au sein même de la fête. Et Nolan avait rompu avec elle, lui causant un chagrin immense. Comme elle regretté… Elle aurait tout donné pour effacer ce funeste moment de sa vie. Bien sur, ils étaient restés bons amis, malgré une constante ambiguïté entre eux, comme les matins où on les trouvés tout les deux, dans les bras l’un de l’autre, endormis tout habillé. Maëlle voulait partir, prendre des vacances. Alors elle est partit pour l’Angleterre, elle a visité Big Ben. Et elle a disparut. Mais ce n’est peut-être pas plus mal. Mais la belle s’est toujours posée une question. Oublierait-elle un jour Nolan, son premier grand amour ? C’était avant qu’elle rencontre Dylan, avant qu’elle ne rencontre John. Son futur à aujourd’hui un air de déjà vu, tout semble recommençait. Maëlle à débarqué au XIXème siècle avec, heureusement pour elle, le strict nécessaire. Une paires de lunette de vue, des lentilles, sans lesquels elle est incapable de lire une ligne, une paire de chaussure noir à talons aiguille, du maquillage, et surtout, le tutu rouge de Kitri, ainsi que les pointes de satin de l’ensemble. Heureusement pour elle, le soir de « l’accident », elle devait se rendre à l’Opéra Garnier, pour un ballet où elle danserait le rôle de Kitri, et elle avait donc pris avec elle son nécessaire de danse, à savoir tutu, guêtre, collant, pointe et demi-pointe, épingle à chignon etc. Contrairement à la plupart de ses amis, et contrairement à son frère, elle n’avait rien jeté de ses affaires ? Certains avaient brûlés le XXIème siècle qu’ils avait amené avec eux, elle, elle avait tout caché sous une latte de son lit, dans la nouvelle demeure qu’elle habité avec son frère.

L’avenir est-il un long passé ?

▬• Retour au XXIème siècle •▬

Qui se cache derrière l'écran ?
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Mon vrai moi

PRENOM : Séphora, pour vous servir. PSEUDO : Green-Apple AGE : 16 ans. ▬ ~~ •• ~~ ▬ COMMENT AS-TU DECOUVERT FALL TO PIECES ? : En suivant le projet sur Prd, bien entendu. QU'EN PENSES-TU ? (couleurs, design, présentation, contexte, css...) : _ Mais je ne suis peut-être pas très objective... =) TROUVES-TU QUE LA RECONSTITUTION DE LONDRES EST BIEN FAITE ? : Elle est bien sur parfaite ! =) ▬ ~~ •• ~~ ▬ AUTRE(S) COMPTE(S) : Nop. TON PERSONNAGE EST : inventé () PV (x) scénario () PRESENCE SUR LE FORUM : 5/7 minimum CODE DU REGLEMENT : validé par Vic. UN PETIT MOT POUR FINIR ? : Peignons les roses en rouge, du plus éclatant des rouges ! La reine les aimes rouge !! Mdr !

© Lylee