Fall To Pieces
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 Annette J. Delarose (FINIIISH)

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Auteur Message
Annette J. Delarose

    L O N D O N I E N


Annette J. Delarose

▬ Messages : 40
▬ Date d'inscription : 19/02/2010
▬ Ville où j'habite, où j'habitais : J'habite désormais à Londres après que Big Ben m'ait arrachée de mon Paris moderne.

♥♥ My life in London ▬
Rêve: Assister à des événements de l'histoire.
Mon groupe: Contemporain.
Secrets d'Histoire:

Annette J. Delarose (FINIIISH) Vide
MessageSujet: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptyVen 19 Fév - 23:37

..
▬• Identity card •▬


Ça c'est moi !

Annette J. Delarose (FINIIISH) Michelletrachtenberg200

© Faraway
Commençons par le commencement
▬ ~~ •• ~~ ▬
Je suis un(e) petit(e) contemporain(e) !

NOM : DELAROSE.
PRENOM : Annette.
AUTRES PRENOMS : Juliette.

▬ ~~ •• ~~ ▬

AGE : 20 ans.
NE(E) LE : 30/07/1989 A : Strasbourg.
ORIGINAIRE DE : Paris.
HABITE : Dans le West End of London, à Marybelone.

▬ ~~ •• ~~ ▬

GROUPE : Contemporains.
CELEBRITE CHOISIE : Michelle Trachtenberg.
Pictures or music

Annette J. Delarose (FINIIISH) Th_Gif060



..
▬• My Story •▬

Quelle est mon histoire ?
▬ ~~ •• ~~ ▬


Je suis née à Strasbourg, en France, à la veille du 21ème siècle. Ma mère, Eléonore, est morte en me mettant au monde, et je n’ai jamais connu mon père. Ma génitrice était une femme fragile, du moins est-ce ainsi que ceux qui l’ont connue me l’ont décrite. J’ai souvent ressenti cruellement son absence alors que, terrée au fin fond d’un orphelinat, personne ne venait jamais me chercher. Ma famille, c’était tous les autres enfants de notre bon vieux refuge aux multiples chambres, dans lesquelles nous couchions à plusieurs, sans intimité, souvent sans toute la compassion qu’un enfant mérite. Si aucun parent n’a souhaité adopter une fille comme moi, c’est que je suis née avec un cœur défaillant, qui fait souvent des siennes sans crier gare. Handicapé est un terme qui me correspond, bien qu’il m’hérisse le poil. La vérité blesse, comme chacun sait. Quoi qu’il en soit, j’ai grandi comme je pouvais, me réfugiant auprès des livres, me protégeant avec les mots, brandissant cette barrière de lettres comme on se protègerait d’un vampire avec une croix. Mais si j’aimais lire autant qu’être seule, je n’étais pas non plus un ermite, et j’avais besoin du contact des autres. J’avais ma petite bande de filles, dans laquelle allaient et venaient les membres au fil des arrivées et des sorties de l’orphelinat. Ces incessantes allées et venues ne permettaient pas de s’attacher assez pour que les liens amicaux que nous tissions soient très forts, aussi puis-je dire que je n’ai vraiment eu d’amis qu’à mon sortir de l’orphelinat. Vous pourriez me demander pourquoi je n’avais pas ma bande de fille à l’école, et je vous répondrais que j’étais trop timide, renfermée et indépendante, peut-être même trop peureuse pour tisser des liens dans l’enceinte de l’établissement, où je restais seule la plupart du temps (enfin, en compagnie de mes bouquins). J’ai du mal à me l’avouer, mais je crois aussi que j’ai peur de m’attacher aux gens, parce que je crains de les perdre. A l’orphelinat, lorsque l’une des filles nous quittait pour rejoindre une famille où elle pourrait enfin vivre heureuse, ça me blessait souvent. Autant parce que, d’un côté, j’éprouvais une certaine et vile jalousie, et que, d’un autre côté, l’amie disparue brillait douloureusement par son absence, installant un manque dans ma poitrine qui durait quelques semaines après son départ, avant de s’évanouir et d’être remplacé par un autre.
J’étais une bonne élève. Très bonne. Passionnée par la culture, surtout par l’histoire, j’ai toujours été très curieuse et avide de savoir. Je tiens un carnet où je note chaque événement historique, et le conserve jalousement. J’y tiens comme à la prunelle de mes yeux, et l’ai toujours sur moi. Comme d’autres se goinfrent de pâtisseries, je me noyais à 10 ans dans des récits qui feraient froncer les sourcils d’adultes pourtant pas stupides. Très bonne conseillère et dotée d’un désir d’aider autrui, je ne compte plus les fois où je suis venue en aide à mes camarades pour leurs devoirs. J’ai toujours eut ce sens maternel, peut-être parce que je n’ai jamais eu l’occasion d’y goûter moi-même en tant que celle qui est maternée. Mais à l’instar d’une pièce, j’ai aussi un côté face : je peux me fermer comme une huître sans prévenir, au moindre détail qui m’aurait chiffonnée, au moindre geste qui m’aurait déplu. Il m’arrive d’être froide et cassante, surtout quand j’ai une idée en tête et que je ne veux pas la lâcher ; je suis une grande têtue, il faut le savoir !
Mes bonnes notes m’ont menée à la Sorbonne, où j’ai étudié le sujet qui me passionnait : l’histoire. C’est lors d’un voyage à Londres que ma vie a brutalement basculé.

* *

- Les jeunes, on descend ! cria le professeur à l’adresse de ses étudiants, alors que le train entrait en gare de Londres.

Annette, qui avait le front collé contre la vitre, s’en écarta et passa une main dans ses cheveux bruns, qui avaient bien poussés. Désormais, ils lui arrivaient en bas du dos, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Elle avait toujours aimé avoir les cheveux longs, sans pouvoir s’offrir ce luxe. Quand elle était à l’orphelinat, la directrice décrétait que toutes les petites filles devaient avoir une coupe à la garçonne. C’était comme ça et pas autrement, et Annette avait été bien heureuse en quittant l’établissement. Enfin le droit de faire ce qu’elle voulait de ses cheveux ! Bizarrement, c’était ce qui l’avait marquée le plus.
Tournant la tête vers son voisin, un grand brun séduisant à qui elle n’avait jamais parlé – sauf si parler à quelqu’un peut se réduire à « excuse-moi, la place est libre ? » -, elle le fixa en espérant qu’il se lève pour la laisser passer. Il fallait qu’elle récupère son sac, quand même. Et lui aussi, alors pourquoi ne bougeait-il pas ? Elle souffla par le nez, ce qui souleva les cheveux du brun. Oups. Aussitôt, Annette s’écarta. Il tourna la tête vers elle, et elle en profita :

- Heu, je peux sortir ?

Il la regarda pendant deux secondes (c’est très long, deux secondes, dans ce genre de situation, on dirait pas comme ça), l’air d’émerger, puis parut se ressaisir. Il se leva brusquement et se colla contre son siège.
Annette lui sourit – un peu crispé, le sourire – et se glissa dans le petit couloir étroit du train. Elle alla récupérer son sac au bout, et suivit les autres élèves de son cours qui descendaient déjà du wagon. Le garçon brun la suivit alors qu’elle descendait, et lorsqu’il l’appela par son prénom et qu’elle tourna la tête vers lui, elle se rendit compte qu’il était aussi à la Sorbonne. Elle se dit que la montée de l’individualisme n’était pas une très bonne chose pour la société. Les gens ne se voyaient même plus.

- Oui ? fit-elle au jeune homme, qui sauta du train pour atterrir à ses cotés.
- Rien, je me disais qu’on pouvait faire plus ample connaissance.

Elle le regarda avec un regard si vide et plat qu’il en perdit soudain son sourire. Quand elle s’en rendit compte – ce genre de comportement froid, limite amorphe, lui arrivait souvent, ce qui lui avait d’ailleurs valu le surnom de « reine de glace » à plusieurs reprises au cours de sa courte existence – elle accrocha un sourire à ses lèvres et articula un « OK ». Le garçon parut satisfait et arrêta de la regarder – heureusement, sinon il aurait fini par trébucher : dans une gare, par terre, il y a souvent des valises, et si on ne regarde pas en marchant, on tombe. Si je te le dis !

- Bon, on va commencer par aller déposer les valises à l’hôtel ! cria le prof, les bras en l’air pour que tous ses élèves le voient.

Une autre prof qui accompagnait était en train de compter les étudiants. On se croirait en primaire ! songea Annette. Ce fut sa dernière pensée avant d’être happée par le babillage soudain de son voisin, qui se montrait étonnamment bavard après son silence durant le voyage.

* *

Annette regarda la feuille que leur avait donnée le prof, à la recherche de leur prochaine destination. Ils sortaient du British Museum, dans lequel elle s’était régalée des renseignements que leur offrait le guide, tout en se rendant compte que le brun n’était pas qu’un type séduisant un peu trop bavard sur les bords : il était aussi cultivé et doté d’un sens de l’humour à toute épreuve. Elle lu « Big Ben » comme leur étape suivante, et en fit part à son voisin, qui partit alors dans une anecdote farfelue sur un de ses copains qui s’appelait Benjamin et qu’ils avaient surnommé comme le monument (blablabla).

- Wow, souffla le garçon, s’interrompant en plein milieu d’une phrase, lorsqu’ils eurent traversé le pont et qu’ils furent happés par l’ombre imposante du Westminster et du Big Ben.
- Tu l’as dit, murmura Annette, qui avait toujours été soufflée par les bâtiments bien bâtis. Et celui-ci était aussi gracieux qu’intimidant.

Ils entrèrent dans le bâtiment, précédés d’un guide particulièrement coincé, qui provoqua chez le voisin d’Annette une autre salve d’anecdotes. Celle-ci, même si elle lui aurait bien demandé de se taire, ferma plutôt ses écoutilles et colmata ses oreilles, de manière à ce que les paroles de son nouvel ami ne l’atteignent pas. Ainsi pouvait-elle admirer le bâtiment tranquille. Ça avait toujours été une des spécialités de la jeune femme : elle savait se fermer au monde extérieur aussi bien que celui-ci s’était fermé à elle lorsqu’elle était petite, abandonnée et rejetée dans son orphelinat.

Au moment fatidique que nous attendons tous, alors qu’ils se trouvaient face à face avec Big Ben et que le guide continuait à discourir ("- Mes amis, le temps est notre maître, il nous surpasse et nous sommes faibles face à lui. Cette horloge du Big Ben nous le montre bien par sa grandeur et sa beauté ! Voyez comme elle a un air magique !"), le cœur d’Annett choisit ce moment pour avoir un raté et la pousser à s’évanouir. On s’en doutera, elle fut gracieusement réceptionnée par le séduisant brun tandis que Big Ben annonçait sa sentence et les renvoyait dans le passé.

* *

Annett se réveilla en sursaut, dans l’endroit le plus crasseux qu’elle ait jamais vu. Elle eut une espèce de gargouillement dans la gorge, qui devait signifier à quel point elle était dégoûtée, puis son cerveau commença à mettre des significations sur ce qu’elle voyait. D’une part, elle constata qu’elle n’était pas seule dans cette petite pièce infâme (petite pièce qui n’avait qu’une fenêtre aux barreaux rouillés, et sans vitre s’il vous plait !) : une blonde qu’elle connaissait sous le nom de Kathryn était assise en face, le regard noir et fixé sur elle (ce qu’Annette trouva profondément injuste puisque, à sa connaissance, elle n’avait rien fait de mal) ; et d’autre part, elle fut tellement surprise de découvrir des fers (qui paraissaient dater de Mathusalem) accrochés à ses pieds et ses mains, qu’elle poussa cette fois-ci non pas un gargouillement mais un vrai cri de surprise. Elle jeta ensuite un regard affolé autour d’elle, puis finit par le poser sur sa colocataire de ce qu’elle assimilait à une cellule de prison.

- Mais… mais ! On est où ?! couina-t-elle, affolée, se maudissant déjà d’avoir parlé avec cette petite voix stupide.
- En prison, maugréa la blonde.
- Hein ? fut tout ce qu’Annette parvint à lâcher.
- Hum. Ne fais pas cette tête ou je vais finir par croire que tu es vraiment la sorcière que l’on prétend.
- Heinnn ? répéta Annette, avant de se reprendre et d’afficher le regard le plus normal qu’elle pouvait, étant donné la situation.

Les pensées se bousculaient dans sa tête, tandis que la partie de son cerveau qui voulait garder un semblant de réalité lui soufflait qu’elle rêvait. Un rêve ! Wouah, quel soulagement !

- Je te fais un topo rapide, dit la blonde : Big Ben a trouvé qu’on avait été un peu trop méchant avec lui et nous a fait remonter le temps, ensuite on nous a collées toutes les deux en prison pour sorcellerie. En voyant nos fringues, forcément… Ils pensaient que mon portable était quelque objet mystique et qu’on devait absolument éradiquer ces « suppôts de Satan » (nous, en l’occurrence) !

Annette la regarda fixement. Bon. Sa colocataire débloquait un max, et n’était certainement pas de bon conseil pour lui expliquer la situation.

- A l’aide, murmura-t-elle, fixant les barreaux qui la séparaient d’un couloir tout aussi crasseux que la cellule.
- Je ne te conseille pas, prévint Kathrin.

Annette l’ignora. Après tout, elle était folle, non ?

- A l’aide ! appela Annette un peu plus fort.
- Arrête, Annette ! (poil à la qué…*baf*) souffla la blonde, se rapprochant de notre héroïne en glissant dans la crasse.

Celle-ci tourna la tête vers elle et ferma la bouche. Comme elle l’avait appelée par son prénom, ça l’avait un peu surprise, assez du moins pour la faire taire.

- Je ne déconne pas, dit Kathrin. Je ne suis pas folle. Je te jure. On est en mille huit cent quelque chose, d’après l’état de construction de Big Ben.

Annett la regarda avec l’air d’un poisson hors de l’eau. Ou avec l’air de quelqu’un qui vient d’avaler une chaussette pas spécialement propre.

- Où sont les autres ? souffla-t-elle, se disant qu’elle allait jouer le jeu de la folle, au cas où, et voire où ça la mènerait.

Sa colocataire haussa les épaules.

- Il faut qu’on se sorte d’ici, annonça-t-elle plutôt, où on va aller droit au bûché.

Annette écarquilla les yeux. Elle s’imagina Jeanne d’Arc accrochée à son poteau de bois, les flammes lui léchant les cuisses, et se dit que son voisin brun aurait sans doute sorti une blague du style « comme on l’a pas crue, on l’aura cuite ! ». Annette pouffa toute seule, ce qui prouvait à quel point elle avait les nerfs en pelote. La blonde ne parut pas s’en formaliser et leva les yeux au ciel, puis elle fronça les sourcils.

- Annette !

L’interpellée se tue aussitôt, ayant elle aussi entendu du bruit dans le couloir. Quelqu’un approchait, comme le soulignait le tintement de ce qui lui fit penser à une armure. Elle jura tout bas en maudissant ses rêves. Comment pouvait-on laisser dériver son subconscient ainsi !?

- Debout ! ordonna une voix bourrue, masculine, bruyante et pas du tout, du tout amicale.

Annett sursauta et leva les yeux. Elle vit un homme grand, bien bâti, une ceinture de cuir à laquelle était accrochée une épée acérée. Elle déglutit difficilement et ne parvint pas à détacher ses yeux de la lame. Elle l’imaginait déjà s’enfoncer entre ses côtes. Glups !

- Où va-t-on ? demanda l’intrépide blonde.
- Les sorcières ne doivent pas parler, cracha le garde, puis il ouvrit la porte de la cellule après y avoir enfoncé une longue clé.

Il entra en grognant. Si ça n’avait pas été si flippant, Annette en aurait éclaté de rire.

- Comment peut-on plaider notre innocence ? Va-t-on au tribunal ? renchérit Kathrin, ne tenant apparemment pas compte de l’avertissement du garde.

Celui-ci s’approcha de l’impertinente et la gifla, ce qui surprit tant Annette que ses jambes en tremblèrent et qu’elle tomba à genoux. Elle se releva presque aussitôt lorsque le regard du garde se posa sur elle, mais elle continua de sentir son corps trembler malgré elle.

- J’ai dit : les sorcières de doivent pas parler, répéta le garde, en regardant Annette, qui n’avait pourtant pas ouvert la bouche, elle.

Elle pinça les lèvres. Elle sentait une immense boule de nœuds dans son ventre. Elle avait peur, elle tremblait, elle avait les mains et le dos moites. Le garde s’approcha, et Annette se figea brutalement, sentant son cœur partir dans un galop du tonnerre qui aurait affolé son médecin. A l’instant où elle se voyait déjà morte, étalée dans la crasse et la poussière, un filet d’hémoglobine bavant de ses lèvres, des pas se firent entendre dans le couloir. Le garde tourna la tête tandis qu’un autre homme, pas très grand et à l’allure bedonnante, apparaissait derrière la grille. Il n’entra pas dans la cellule, ne dit rien, mais le gars qui avait giflé Kathrin se baissa en silence pour détacher les chaînes des pieds des prisonnières, puis les fit sortir. Le petit homme les suivit dans le dédale de couloirs. Ils terminèrent leur périple angoissant dans une pièce éclairée par des torches aux murs – Annette vit par les fenêtres (avec des vitres, cette fois-ci) que la nuit était tombée. Une foule d’autres hommes étaient présents, assis sur des gradins, et tous les regards convergèrent vers elles. La jeune femme se sentit encore plus mal, si c’était possible. Elle déduisit qu’ils se trouvaient dans une sorte de tribunal. Le petit homme leur passa devant tandis que les prisonnières et leur garde s’étaient arrêtés, et s’avança jusqu’au centre où une haute table trônait. Le garde s’avança et plaça les deux filles devant, exposées aux yeux de tous. Un homme à droite, au second rang, se leva alors et s’éclaircit la gorge.

- Ces deux femmes ont été aperçues cet après-midi près de l’horloge en construction, commença-t-il. Il avait une voix morne et inintéressante. Elles étaient vêtues de la plus étrange des façons, comme vous pouvez encore le constater.

Il fit une pause le temps que l’assemblée constate effectivement qu’Annette portait un jean taille basse moulant admirablement bien ses jolies petites fesses ainsi qu’une chemise blanche déboutonnée dévoilant les généreux dons de dame nature, et que Kathrin avait une minijupe en tissu bleu et un t-shirt basique. Rien de plus banal ! C’était plutôt eux qui étaient sapés bizarrement, songea Annette, mais elle n’aurait jamais répliqué ça. De un parce qu’elle n’était pas aussi mal élevée (on n’interromps pas le discours d’un mec dans un tribunal, voyons !) et de deux parce qu’elle commençait à croire qu’elle avait effectivement remonté le temps (et à flipper grave ; « ah bon, c’est pas un canular ? » ah ah et non !).

- De plus, reprit l’homme, elles se trouvaient en possession de ceci.

Il montra un portable sur la table. Oh oh.

- Il s’agit vraisemblablement d’un objet satanique, souffla-t-il fielleusement, ce qui fit monter une bouffée de haine dans la tête d’Annette.

Quel satané connard ! ragea-t-elle. Nan mais regardez comme il prend plaisir à nous démonter ! Un coup d’œil sur sa gauche apprit à la jeune femme que sa colocataire de cellule devait penser exactement la même chose du « connard » en question.

- Sorcières au bûcher ! Sorcière au bûcher ! scanda un autre type avec une perruque grise et bouffante, à droite.

En fait, ils avaient tous des perruques bouffantes, ce qu’Annette venait de remarquer. Amusant comme la peur vous voile la face, hein !
Le petit homme au milieu leva une main, ce qui fit taire toutes les voix d’autres connards qui avaient repris le « sorcières au bûcher ! » avec des regards de dément (c’est qui les sorcières, là, hein ? hein ?).

- Les accusées veulent-elles dire un mot ? demanda-t-il poliment, et Kathrin secoua la tête de haut en bas assez vigoureusement.

Ça parut un peu déstabiliser le type, mais il se reprit aussitôt et l’incita à prendre la parole d’un geste de la main.

- Je plaide non coupable, déclara-t-elle.

Il y eut des ricanements dans l’assemblée.

- Moi aussi, fit Annette d’une voix clairement moins assurée.
- Mon père est inventeur, inventa Kathrin. Ce que vous avez devant les yeux n’est autre qu’un jouet pour enfants.

Annette jeta un coup d’œil de travers à sa coéquipière. Hein ? Un jouet ? Quoi ?

- Comment expliquez-vous qu’il fasse… heu… de la… lumière ? Quand on… soulève le… tenta de demander le petit homme, acceptant avec facilité la justification farfelue de Kathrin.
- Il ne fait absolument pas de lumière, monsieur, assura celle-ci, le regard assuré, et Annette eut une grande bouffée de reconnaissance à son égard pour garder la tête aussi froide.
- Ah non ? argua Connard n°1.
- Non.

Elle s’avança d’un pas, entraînant, comme un seul homme, l’assemblée à faire un pas en avant elle aussi. Elle leva les mains.

- Je veux juste prouver mes dires, expliqua-t-elle, visiblement agacée par toute cette mascarade.

Elle tourna la tête vers le petit homme, qui fit à nouveau un geste de la main pour lui autoriser à prendre l’objet satanique (ah ah). Elle ne se fit pas prier et alla prendre le portable sur la table. Annette la vit appuyer sur la touche pour l’éteindre avant d’ouvrir l’appareil et de le brandir. Cette fois-ci, le mouvement de foule fut un pas en arrière accompagné d’un grand soupir craintif. Il ne se passa rien, évidemment.

- Pas de lumière, dit-elle.
- Sorcière ! C’est vous qui arrêtez la lumière ! dit un des connards.

Elle eut l’air d’avoir envie de le flinguer, puis tendit le portable au petit homme. Il sursauta d’abord, et hésita. Finalement, il prit l’objet entre ses doigts, prudemment (des fois que le diable pourrait en sortir, hein, on sait jamais avec ces machins là). Il trembla, puis raffermit sa prise. Il fit jouer le clapet, mais aucune lumière ne vint éclairer son visage.

- Pas de lumière, conclut-il.
- Il y en avait avant !
- Avez-vous des preuves ? répliqua le petit homme en tournant un regard sévère vers son compatriote (connard n°1), qui n’eut soudain pas l’air content du tout. Il ne dit rien, pourtant, et Annette eut un petit sourire.
- Et les vêtements alors ? fit encore un autre connard.
- Si une femme ne devrait pas voyager ainsi vêtue, répondit le petit homme, pragmatique, en regardant les jambes nues de Kathrin et celles d’Annette moulées dans son pantalon, cela ne constitue pas un crime passible de peine de mort.

Il y eu un long, long silence, durant lequel Annette eut tout le temps de suivre le chemin d’une goutte de sueur, qui empruntait sa colonne vertébrale pour faire un tour de toboggan jusqu’au bas de son dos.

- Les accusées sont déclarées non coupables, trancha le petit homme, en tapant sur son bureau avec un marteau.

Et tout fut finit. Annette n’eut pas le temps de dire ouf qu’elle se retrouva presque instantanément dans la rue, devant le bâtiment où elle venait d’être jugée, en compagnie de Kathrin. Celle-ci lui prit la main aussitôt et partit en courant, l’entraînant dans les rues dallées. Annette regardait tout ce qu’elle voyait avec de grands yeux, n’en croyant toujours pas ce que son cerveau lui expliquait. C’était tout simplement inimaginable. Elles avaient bel et bien atterries au 19ème siècle. Les femmes avaient de longues robes, des mouches dans le décolleté ou au dessus de la lèvre, des éventails, des mouchoirs blancs, des rires pompeux ; les hommes étaient en costume, tellement charmants, parfois avec un chapeau ou une lunette sur un œil ; les voitures étaient tirées par des chevaux hennissants, les immeubles ne dépassaient pas les quatre étages, il n’y avait pas une odeur de pollution dans l’air. Annette inspira un grand coup, et ferma les yeux quelques secondes, mais elle faillit trébucher et les rouvrit pour voir où elle mettait les pieds (pas bon d ecourir les yeux fermés, en même temps). Son amie la tirait toujours en avant. Quand elles furent hors d’haleine, elles s’arrêtèrent et se laissèrent aller contre un mur. Puis elles éclatèrent de rire.

* *

Annette et Kathrin s’installèrent dans un Londres du 19ème, où tout était si différent de chez elles. Elles s’y firent une place, tant bien que mal. Si la première était ravie de sa nouvelle vie – imaginez un peu ! elle était en train de vivre l’Histoire ! – Kathrin avait un peu plus de mal. Mais tant qu’elle réussissait à les faire vivre toute les deux, ça allait. Elles avaient trouvées une maison à partager avec une vieille veuve sans enfant, sans famille, charmante mais aigrie, qui leur offrait le gîte et le couvert en échange de leur attention. Annette se fit remarquer par sa culture et ainsi bien vite engagée comme professeur auprès de la fille de la reine Victoria, reine qu’elle admirait et qu’elle trouvait plus que fascinante, autant par son esprit que par ses biens qui recelaient de trésors intellectuels.
Elles ne dévoilèrent jamais leur secret (qui les croirait, de toute façon, qui serait assez fou ?), et elles purent se rendre compte que les quelques personnes qu’elles connaissaient du 21ème siècle et qu’elles avaient croisées en route faisaient de même. Annette eut quelques difficultés à ne pas dévoiler d’où elle venait lorsqu’elle fit la rencontre de Gloria, une tsigane à qui elle s’était beaucoup attachée et en qui elle avait énormément confiance. Celle-ci lui confiait ses déboires, et la jeune femme essayait d’en faire autant, sans trop en dévoiler de peur de trahir son origine.
Annette ne revit jamais son séduisant voisin de train brun, mais rencontra un charmant blond alors qu’elle consultait, avec un ravissement complet, les livres de la bibliothèque. C’est en faisant tomber ses livres que, gentleman, le bel homme dont elle ne connaissait même pas le nom avait accouru pour l’aider à les ramasser. Croisant son regard d’un bleu électrique, elle avait senti comme une décharge au creux de son ventre et, même s’il était parti en pestant et en criant après elle, lui filant les jetons, elle ne pouvait s’empêcher, lorsqu’elle était seule et ne faisait rien de spéciale, de penser souvent à lui sous les meilleurs égards.

..
▬• Retour au XXIème siècle •▬

Qui se cache derrière l'écran ?
▬ ~~ •• ~~ ▬

Mon vrai moi

PRENOM : Emmanuelle.
PSEUDO : Faraway.
AGE : 17.

▬ ~~ •• ~~ ▬

COMMENT AS-TU DECOUVERT FALL TO PIECES ? : Par un partenariat avec Pub Rpg Design =p
QU'EN PENSES-TU ? (couleurs, design, présentation, contexte, css...) : Ca faisait TELLEMENT LONGTEMPS que je cherchais un forum comme le votre, où le rpg se situerait au 19ème ! Et là, BAM, encore mieux, il y a remontage dans le temps, avec arrivée de contemporains à cette époque que je chérie tant, mais aaaargh ! vous me tuez <3 Comment je POUVAIS ne pas m’inscrire ? COMMENT ? C’était tout bonnement pas possible. Et puis j’ai trouvé cette merveilleuse Annette, dont je suis tombée illico amoureuse <3 Dingue, dingue ! Moi qui m’était dis « nan, arrêtes Emmanuelle (ouais je sais ça craint un peu comme prénom mais c’ets le mien, pour les réclamations faut voir mes parents T.T), ne t’inscris pas sur d’autres forums rpg, t’as PAS LE TEMPS » et ben là ! J’étais tellement sous le charme de votre fo’ que je me suis dit que je pouvais pas rater une telle occasion. Quitte à abandonner mes autres fo’ *-* J’espère que je vais me plaire <3 Je vous aime déjà !
TROUVES-TU QUE LA RECONSTITUTION DE LONDRES EST BIEN FAITE ? : Tu déconnes Yvonne ! CA DECHIIRE !

▬ ~~ •• ~~ ▬

AUTRE(S) COMPTE(S) : Négatif.
TON PERSONNAGE EST : PV (X)
PRESENCE SUR LE FORUM : Environ deux heures tous les soirs de la semaine si j’ai pas trop de devoirs *-* (oui parce que la petite Emmanuelle elle est quand même en Terminale, c’est pas que y’a beaucoup de boulot avec le bac à la fin de l’année mais presque)
CODE DU REGLEMENT : code ok by Vic'
UN PETIT MOT POUR FINIR ? : I LOVE UUU <3 Et j'espère ne pas avoir dit trop de conneries xD

Annette J. Delarose (FINIIISH) Friend
©️ Faraway
Parce qu'on a tous une âme d'enfant =p


Dernière édition par Annette J. Delarose le Lun 22 Fév - 13:59, édité 9 fois
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Elizabeth C. Witchard

    Princess of her Secret Garden J'ai le ♥ g r e n a d i n e


Elizabeth C. Witchard

▬ Messages : 348
▬ Date d'inscription : 05/01/2010
▬ Ville où j'habite, où j'habitais : London, London, London.

♥♥ My life in London ▬
Rêve: Trouver l'amitié, filer le parfait amour avec James, démasquer et éliminer Lady Carolynn...
Mon groupe: Aristocrate
Secrets d'Histoire:

Annette J. Delarose (FINIIISH) Vide
MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptyVen 19 Fév - 23:40

Hey!! Bienvenueeee!
Annette J. Delarose (FINIIISH) 57108
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Elena S. Woods
Sweety admin

    Resistant and p○werful girl


Elena S. Woods

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Annette J. Delarose (FINIIISH) Vide
MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptyVen 19 Fév - 23:59

Bienvenuuue !!!

Merci beaucoup pour les compliments, je vais commencer à lire ta looongue histoire en attendant que tu termines =)

Je suis très touchée de ton exitation quant au forum =)
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Colin Adams

    L O N D O N I E N


Colin Adams

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♥♥ My life in London ▬
Rêve: vivre la vie que je souhaite
Mon groupe: les aristocrates
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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 1:26

Bienvenueee ! Smile
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Elizabeth C. Witchard

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Elizabeth C. Witchard

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Annette J. Delarose (FINIIISH) Vide
MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 1:31

Elena S. Woods a écrit:
, je vais commencer à lire ta looongue histoire en attendant que tu termines =)


Pour une la longue histoire, c'est sûr que c'est de la longue histoire. Mais je me tais, j'ai fait pareil je crois ^^.
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Malcolm T. Sweeney

    L O N D O N I E N


Malcolm T. Sweeney

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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 1:33

Bieenvenuue Annette J. Delarose (FINIIISH) 868230
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Princesse Victoria

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Princesse Victoria

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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 1:36

    Bienvenuuuuue sur FTP !!!!
    Ouawh franchement MERCI BEAUCOUP pour les compliments ça nous touche énormément ce que tu dis !! Tu ne peux pas savoir comment ça fait plaisir de lire tes mots vraiment merci ^^ !! Annette J. Delarose (FINIIISH) 370775 Annette J. Delarose (FINIIISH) 654898
    Sinon moi aussi je vais entamer ta loongue histoire lol :p Annette J. Delarose (FINIIISH) 999865 Annette J. Delarose (FINIIISH) 35649 !!
    Bonne chance pour la suite de ta fiche (à moins que tu aies terminé ? il ne manque selon moi que le dernier avatar sinon c'est bon ^^), et ne t'inquiète pas tu n'as pas trop dit de conneries, ici on n'en dit jamais assez, bienvenue au pays des fous qui s'amusent lol :p Wink !!
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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 2:05

Bienvenu ! Annette J. Delarose (FINIIISH) 57108
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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 13:13

Mercii à tous pour votre accueil <3
Oui, j'avoue, j'ai peut être fait un chouillat trop, c'est ce que je me suis dit en plein milieu, mais en même temps y'avait plein de trucs à raconter xDD
La nuit m'a soufflé que j'ai du quand même mettre quelques incohérences, enfin si vous les voyez pas, ça me va ; j'attends vos critiques, je suis prête à refaire et refaire encore ce qui ne vous ira pas xDD
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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 14:10

Moi j'adore ta presentation Annette J. Delarose (FINIIISH) 654898
ah & comme Michelle c'est Michelle , que t'est le professeur d'une de mes petites soeurs , il nous faudra un lien Annette J. Delarose (FINIIISH) 332260
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Maëlle R. Willington

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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 15:02

Bin moi j'ai tout lu ! ♥️

Et j'aime beaucoup ton histoire, puis ton avatar est trop beau, et puis les compliments, c'est trop gentil, et puis nous aussi on t'aime déjà ! Annette J. Delarose (FINIIISH) 692991

Alors j'te valide avec grand plaisir !!

Bienvenu chez nous, chez toi ! Annette J. Delarose (FINIIISH) 24945
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Annette J. Delarose

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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 15:13

Avec plaisir Alfreed ! =p Bon alors par contre faut qu'on m'explique un peu, je débarque ai-je envie de rappeler xD (et je suis pas du genre fute-fute, il me faut pas mal de jours avant de piger le fonctionnement dun forum xDD Ah ces jeunes !).

Nann, sans blague !? Trop bien, mercii ! <3
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Maëlle R. Willington

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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) EmptySam 20 Fév - 15:14

Pose toute les questions que tu as besoin de poser, nous, on est là pour y répondre ! ♥️
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MessageSujet: Re: Annette J. Delarose (FINIIISH)   Annette J. Delarose (FINIIISH) Empty

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