▬• Identity card •▬

Ça c'est Nillem ! © copyright Delirious Chucko

Commençons par le commencement ▬ ~~ •• ~~ ▬ Je suis un petit villageois ! NOM : WEST. PRENOM : Nillem. AUTRES PRENOMS : Frédéric ( j'ai le droit : O ? ). ▬ ~~ •• ~~ ▬ AGE : 22 ans. NE LE : 19 avril 1837. A : Londres. ORIGINAIRE DE : Londres. HABITE : Southwark. ▬ ~~ •• ~~ ▬ GROUPE : villageois. CELEBRITE CHOISIE : Gaspard Ulliel. Pictures or music

..

▬• Retour au XXIème siècle •▬

Qui se cache derrière l'écran ?
▬ ~~ •• ~~ ▬

Mon vrai moi

PRENOM : Julie. PSEUDO : Joulay. AGE : 14 ans. ▬ ~~ •• ~~ ▬ COMMENT AS-TU DECOUVERT FALL TO PIECES ? : Dans les partenaires de University of California, bien que je ne sois pas inscrite dessus. QU'EN PENSES-TU ? Le design est joli, bien qu'assez simple. Ce n'est pas un critique, hein :3. Ensuite, je trouve le concept très original et assez recherché. Et j'suis trop fan de la présentation des fiches *o*. TROUVES-TU QUE LA RECONSTITUTION DE LONDRES EST BIEN FAITE ? : Je ne saurais dire, j'connais pas Londres xD. ▬ ~~ •• ~~ ▬ AUTRE(S) COMPTE(S) : // TON PERSONNAGE EST : Un PV. PRESENCE SUR LE FORUM : 3/7 voir plus. CODE DU REGLEMENT : Okay ▬ By Maëllichou ! UN PETIT MOT POUR FINIR ? : Je préviens la populace que je n'ai pas une très bonne expérience niveau RPG humain. Les forums où je me suis inscrite pour jouer un personnage humain, je les ais tous lâchés. J'dis pas que je vais quitter celui-là, mais j'reste quand même méfiante. Mais j'ai pas pu résister à la tentation de m'inscrire xD.

copyright Préjudice. C'était trop tentant xD.

▬• His Story •▬

Quelle est son histoire ?
▬ ~~ •• ~~ ▬

Sujet n°1.

Once upon a time...

..1) WRITE YOUR STORY :

Je n’ai jamais su les circonstances de ma conception. J’ignore même l’identité de mon père, et je crains que ma mère ne le sache également. Il faut dire qu’en réalité, ma mère n’était pas l’être le plus parfait qui existe, loin de là ; ce n’était pas non plus le modèle que je comptais suivre par la suite. Mais la vie le montre souvent, on se rebelle souvent contre ses parents pour finalement finir comme eux. Étant enfant, j’avais peur, souvent. Peur du noir, peur du loup qui dormait sous mon lit, peur du monstre dans le placard, peur de la vieille tante à ma mère qui nous rendait parfois visite. Ce n’étaient que de simples peurs d’enfants, qui auraient pu être apaisées facilement et rapidement. Mais ma mère n’a jamais été une très bonne mère ; cela ne signifie pas que je ne l’aimais pas. Mais elle n’avait pas cet instinct maternel qu’on les autres, elle n’avait pas cette prise d’initiative. Alors c’est seul que j’ai du affronter ces peurs là. Et même si elles paraissent insignifiantes, elles sont affreusement pénibles à surmonter pour un enfant de quatre ou cinq ans.
C’est pour cela que je me demande si ma venue au monde était vraiment souhaitée. Durant toute mon enfance, et même jusque à mon adolescence, ma mère volait à l’étalage. Dans les foires, les marchés, elle s’emparait du portefeuille de gros bourgeois faisant leurs achats du dimanche. Alors qu’elle n’excellait pas sur le plan familial, elle était drôlement douée côté … « professionnel ». Elle faisait preuve d’une habile dextérité. Je me vois encore, lui tenant la main et déambulant parmi la foule, moi qui n’étais pas plus haut que les tables à tréteaux. Je la vois, le visage fermé, s’emparer d’un objet qui dépasse, qu’elle place aussitôt dans le fond de sa poche de veste, puis je la vois se tourner ensuite vers moi pour me sourire, comme pour m’assurer que tout allait bien. Tout allait bien, en effet. Pas une seule fois elle ne se fit prendre et nous subsistions de la sorte. Mais je n’appris que bien plus tard que le vol n’était pas la seule raison à notre « bien-vivre ».Ma mère excellait aussi dans le domaine de la prostitution. Eh oui, qui aurait cru que les riches lords de Londres avaient besoin de se détendre auprès d’une courtisane médiocre. Et quand j’y repense, je m’étonne moi-même de ne pas l’avoir découvert plus tôt. Il arrivait fréquemment que des hommes, tous plus ou moins bien habillés, ne rendent visite à ma mère. Cette dernière essayait de m’éloigner le plus possible, et en général, je n’étais jamais à la maison. Jusqu’à ce que je découvre le pot aux roses. Mais il eut cette fois, durant l’hiver. J’étais alors âgé d’une douzaine d’années, et c’est suite à ça que ma mère arrêta cette pratique obscène. Je travaillais à une ferme voisine, je m’occupais des bêtes. Voyant le mauvais temps, le fermier m’a donné congé pour pouvoir rentrer avant la tombée de la nuit. Et c’est là que je les ai vus. Je me souviens encore du visage de cet homme, légèrement marqué par le temps. Il se comportait très vulgairement avec ma mère. Ma génitrice fut très embarrassée de ma présence. Il y avait de quoi. Elle était à moitié dénudée et on voyait à moitié les formes de sa poitrine. L’homme avait failli la prendre sur la table. La même table où je déjeunais tout les matins ! J’étais écœuré, et impuissant. Tout ce que j’ai pu faire fut-ce de voir ce lord me sourire cyniquement et d’emmener ma mère dans sa chambre. Apparemment, c’était un habitué de la maison. J’étais horrifié, dégoûté. Et comme si cela ne suffisait pas, il y avait les bruits qui allaient avec. Les râles sauvages de cet homme, les gémissements coquins de ma mère. Je ne pouvais imaginer ma mère entre ses bras, à éprouver du plaisir à avoir une relation sexuelle avec un homme d’une telle classe sociale, et qui était sûrement marié et père de famille. Combien de parties de jambes en l’air ma mère lui avait-elle offert ? Tout ce que dont je fus capable a été de sortir dehors, dans la nuit glaciale et venteuse, pour vomir tout mon repas. Ce n’était plus ma mère. Elle ne pouvait pas … Et pourtant, il fallait que j’avale cette boule qui s’était formé dans ma gorge. J’avais envie de pleurer. C’est une sensation horrible que je ne souhaite à personne. C’était … indescriptible. Cette scène là scella à jamais un conflit et un froid perpétuel entre ma mère et moi. Plus jamais elle ne s’y exerça, mais c’était trop tard ; elle avait réussi à s’attirer toute la haine de son fils, et jamais je ne lui ai pardonné ceci.


[ . . . ]


C’est durant l’été de mes sept ans que j’ai rencontré la famille Lawer. Et que je fis plus particulièrement la rencontre de la jeune Rain. Je ne me souviens plus des raisons ni des circonstances de cette rencontre qui fut brève. Cela devait être un jour de marché, sans doute. Ma mère n’était pas là, pour une fois. Pas de vol aujourd’hui, non, car j’avais accompagné le fermier voisin à la foire, moi qui rêvais de voir comment cela se déroulait. J’en eus vite marre, et je fatiguais vite. J’avais sept ans, je vous rappelle ! Bref, là n’est pas la question. Après autorisation, je pus me promener dans le marché. Je me dirigeai ensuite sur une petite place publique, où on ne croisait quasiment personne. J’étais au calme, et je profitais de cet instant de solitude pour m’étendre sur un banc humide. Je posais mon bras sur mes yeux et commençais à somnoler. Jusqu’à ce que j’entende un rire, et le frottis d’un vêtement. Un rire doux, agréable et cristallin. Un rire d’enfant, et un rire de fille, apparemment. Curieux et intrigué, je sortis du noir dans lequel j’étais plongé jusqu’alors en enlevant mon bras sale de sur mon visage, tout aussi poussiéreux. Je fus ébloui par ce qu’il me fut alors donné de voir. Était-ce parce que le soleil m’éclaboussait la figure ? Ou parce qu’un ange venait d’apparaître devant moi, sous la forme d’une fillette de mon âge qui se dandinait sur elle-même, habillée d’une jolie robe aux teintes rosées ? Je me redressai afin de m’asseoir correctement sur le banc en bois. Elle était bien habillée, et je la soupçonnais d’être une fille de bourgeois. Elle me souriait innocemment ; elle devait ignorer que j’étais un simple villageois. Je lui rendis timidement son sourire. Elle était vraiment jolie. Mais c’était bizarre de la voir seule ici.


« Tu t’es perdu ? lui demandais-je. »


Soudain, elle arrêta de se tortiller sur elle-même, et arrêta de sourire par la même occasion. Tristement, elle hocha la tête et ses yeux se remplirent de larmes. Alors je lui ai prit la main, et en silence nous quittions la petite place déserte. Nous déambulions dans le marché, sans savoir quoi chercher. Je lui demandais son nom ; Rain. La pluie … Très joli, comme nom. Lorsque je la regardais une nouvelle fois, elle me sourit. Elle était légèrement plus petite que moi ; je lui posais toutes sortes de questions sur ses parents. Puis, alors que nous errions entre les stands des marchands, une femme et un homme accoururent vers nous. La femme, à l’air très inquiet et préoccupé, se précipita sur Rain et la prit dans ses bras, avant de fermer les yeux. L’homme, un grand monsieur vêtu d’une salopette propre que je devinais être celle destinée pour les sorties, arriva derrière sa femme et posa ses deux mains sur l’épaule de sa femme et de sa fille. J’en déduisis que, contrairement à mes impressions, ils n’étaient que de simples villageois, tout comme moi. J’allais faire demi-tour, lorsque l’homme m’interpella. Je me retournais vers eux, et il s’accroupit à ma hauteur.


« Attends. Comment tu t’appelles ? Nillem ? Eh bien Nillem, je te suis infiniment reconnaissant de t’être occupé de notre petite fille. Sans toi, elle aurait sans doute été perdue. Tu veux venir avec nous, pour prendre le repas ? Je suis sûr que cela ferrait plaisir à Rain, et puis nous serions contents également, ma femme et moi. Ce serait une façon de te remercier. »


C’était un homme bon et généreux, visiblement. Déjà, je l’appréciais. Avec un sourire, j’hochais la tête en signe d’approbation. Cependant, nous prévînmes mon voisin que je m’absentais pour le repas, et qu’ils me ramèneraient chez moi ce soir. Ils habitaient non loin de chez moi, en fait, dans la banlieue de Londres où il y avait encore assez d’herbe pour les fermiers comme mon voisin. Le repas fut très agréable. Rain et moi retrouvions l’usage de la parole autour d’un succulent bol de soupe. Cette petite aventure scellait le début de notre amitié.


[ . . . ]


Je me rendais chez les Lawer au moins deux fois par semaine. J’aidais parfois monsieur à bricoler pour l’arrangement de sa maison, ou je m’occupais parfois de cuisiner avec madame et Rain. J’adorais la charrier, la petite Rain. Enfin, la petite, elle avait quand même mon âge. Et c’est durant l’été de nos quinze ans que tout changea. Cette relation d’amitié assez vache évolua en tout autre chose.


[ . . . ]


Nous aimions les promenades, Rain et moi. Souvent, nous nous éloignions de la ville pour retrouver des paysages que nous aimions beaucoup, tels que les champs de blé qui n’étaient pas encore moissonnés, ou bien les prairies à perte de vue où poussaient des herbes hautes. Nous marchions côte à côte, tout en discutant. Puis, je ne sais plus sur quoi, je critiquais Rain une nouvelle fois en rigolant. Mais c’était la fois de trop, apparemment.


« Sa suffit, Nillem ! J’en ai marre de toi et de tes blagues débiles, j’en ai marre de passer pour la fille bête et inutile, j’en ai marre que tu me traites comme ça. Alors oublie-moi, Nillem ! »


Je fus tellement surpris que je ne sus quoi répondre. J’ouvrais la bouche, pourtant, mais aucun son ne sortait. J’étais allé trop loin, et je le comprenais à présent. Rain s’enfuie en courant, tenant sa robe tâchée pour éviter de trébucher. Elle disparut alors dans les herbes hautes. Ses paroles résonnaient dans mes oreilles.


« Alors oublie-moi, Nillem ! »


Et c’est là que je compris que j’en étais strictement incapable. Durant toutes ces années, nous avions tout partagé, bonheur, tristesse, douleur, coups durs, maladie, appréhension, rires. Et comme une évidence, tout ceci s’imposait à moi ; j’étais amoureux d’elle. Je me traitais mentalement d’idiot et d’imbécile tout en courant à travers champs. Je devais la trouver ; je devais lui dire.


« Rain ? Rain ? Raaaaaiiiiinnnn ! Réponds-moi ! Je suis désolé, Rain ! »


C’est alors que j’entendis un sanglot, qui tentait d’être retenu. Je courus jusqu’à l’endroit d’où provenait le bruit, et je découvris un petit corps replié sur lui-même, sanglotant. Rain était assise, et l’herbe la dissimulait partiellement ; cependant, je n’avais aucun mal à la reconnaître. Ses genoux étaient repliés contre elle, ses bras les encerclaient et dessus elle y avait posé sa tête, cachée derrière la masse de ses cheveux longs. J’eus un pincement au cœur ; je détestais la faire souffrir. Alors je m’assis contre elle, repliant également les genoux contre mon torse, y déposant mes bras. Je tournais la tête et je ne voyais que ses cheveux. Alors, doucement, je murmurais son prénom. Aussitôt elle s’emballa en redressant la tête.


« Laisse-moi tranquille, Nillem ! »


Son visage était plein de larmes, certains de ses cheveux s’y étant accrochés. Délicatement, je lui caressais le visage en lui enlevant les mèches de cheveux mouillées qui la gênait et, étrangement, elle se laissa faire. Je lui souris tendrement, avant de reprendre la parole.


« Mais c’est impossible, Rain. »


C’était impossible que je t’abandonne, Rain. Elle fronça les sourcils, à la fois intriguée et agacée. Ma main caressait toujours sa joue.


« Ah oui, et pourquoi donc ? »


Elle semblait vraiment énervée, et je ne pouvais l’en blâmer. Alors, toujours souriant, je lui adressais ces quelques mots.


« Parce que je t’aime. »


Plusieurs sentiments passèrent sur le visage de Rain ; d’abord, la colère laissa place à la surprise, puis la gêne envahie son visage, avant que de l’amour ne vienne s’y peindre. J’étais vraiment un abruti. Elle avait du attendre ce moment depuis des mois, peut-être même des années, et je ne m’étais rendu compte de rien.
Nos deux têtes se rapprochèrent. Ma main se baladait toujours sur son visage, puis elle emmena Rain encore plus près. Alors, fermant les yeux, nos bouches se rencontrèrent avec une intensité qui me bouleversa. C’était mon premier baiser, et j’étais fou de joie de le partager avec Rain. Nous restions ainsi pendant de longues secondes, peut-être même de longues minutes. Puis, simultanément, nous nous arrachions à ce baiser, avant de poser nos fronts l’un contre l’autre. Nous sourions ; nous étions heureux, nous étions amoureux.
Rain me prit dans ses bras, et plongea sa tête dans mon épaule. Alors, à l’oreille, elle me murmura la seule chose que j’avais envie d’entendre.


« Je t’aime aussi, Nillem. »



.. • UN PEU PLUS SUR TOI :

▬ PHYSIQUE :

Nillem est beau. Vraiment canon, le mec *o*.
Bon, essayons de parler de façon un peu plus objective x). Nillem est … séduisant. Oui, on peut dire qu’il est beau, franchement. Un beau visage, de jolis traits. Son visage dispose d’un immense sourire qui lui créé des fossettes tout à fait charmantes. Nillem est assez grand, dans l’ensemble, et musclé. Etant quelqu’un d’athlétique, il n’a pas de mal à avoir un corps de rêve. Sinon, bien qu’il soit musclé, il n’est pas très imposant.

Décrivons son visage, qui est, selon moi, la partie la plus intéressante à décrire. Un joli sourire qui lui créé des fossettes, ais-je dit. C’est vrai. Son visage, en général, est assez carré. Un nez tout comme il faut, ce sont ses yeux que l’on remarque en premier chez lui ; des yeux d’un bleu-gris épatant, ils sont magnifiques à regarder.
Ses cheveux. Ils sont châtains, et assez longs. Une longue frange lui cache la totalité de son front, et il a pour tic de la mettre en place souvent. Voilà ce qu’on peut dire de Nillem, en général.

Pour ce qui est de son look vestimentaire, ce n’est rien de très rechercher. Certes, nous sommes en 1859, mais tout de même, ne perdons pas de vue que Nillem est un villageois. Son salaire, il le gagne en faisant des petits boulots par-ci par-là, et surtout en volant. Alors il porte la plupart du temps des chemises amples, qui paraissent trop grandes pour lui. Il porte ensuite des pantalons simples, sans aucune coupe spécifiques. On peut parfois le voir habiller de salopettes, quand l’envie lui prend. Pour ce qui est de ses chaussures, il se contente de sabots de bois, ou bien de vieilles chaussures en cuir qu’il a réussit à se procurer on ne sait comment. Nillem n’accorde pas beaucoup d’importance à son apparence. Ses habits sont assez abimés, c’est un fait, il n’a pas les moyens d’avoir une super garde-robe, et ils sont souvent tâchés, parfois même troués. Mais, comme toujours, Nillem y trouve un avantage ; dans la foule, il se fond dans la masse et passe plus pour un pauvre paysan que pour un villageois ; c’est plus facile, pour voler les gens xP.

▬ CARACTERE :

C’est assez dur de décrire moralement un personnage que l’on a jamais joué. Mais bon, puisque cette étape est indispensable, alors allons-y.

Je commencerais en disant que Nillem est amoureux. Alors oui, il sera très réservé niveau sentiment, il n’osera jamais dire à quelqu’un qu’il tient à lui, ou à elle. Mais en ce qui concerne Rain, oui, car c’est avec elle qu’il vit cet amour réciproque, il le lui a dit lorsqu’ils avaient une quinzaine d’années. Et depuis, ils sont ensemble, avec des hauts et des bas, bien sûr, mais ils s’aiment comme au premier jour. Nillem ne dira pas souvent à Rain qu’il l’aime. C’est quelque chose de dur à dire pour lui, il croit qu’on va le juger et le trouver ridicule en disant ça, et que cela va engendrer un silence gêné entre lui et elle. Mais il tient énormément à Rain, et il ferrait tout pour elle. Il ne veut surtout pas la perdre, car c’est la seule qui a vraiment été là lorsqu’il allait mal, lorsqu’il était en conflit avec sa mère. Il l’aime vraiment, donc, même s’il montre une certaine réserve quant à ses sentiments.
Très amoureux, Nillem est aussi très jaloux, et très possessif. Bon, bien sûr, il accepte que sa belle discute avec d’autres hommes, qu’elle les saluent, qu’elle les voient lorsqu’elle s’amuse. Mais s’il ne dit rien, c’est pour ne pas l’agacer. Il sera jaloux, mais ne dira rien. Il est très jaloux d’une personne en particulier, en fait ; Damon Witchard. En effet, Rain est fiancé à cet homme, un riche lord. Pourquoi donc ? Eh bien, l’idée vient de Rain, à la base. Mais nous verrons cette histoire un peu plus en détails plus tard, dans «  Secrets d’Histoire ». Patience.

Je citerais ensuite les autres défauts de Nillem, comme ça nous terminerons par le meilleur, les qualités ; D. Donc, ses défauts. Je dirais en premier lieu que c’est un voleur, donc un menteur. C’est la faute à sa mère, s’il s’est mis à exercer une telle activité. Elle volait, également, et il y a vite pris goût. Il subsiste en priorité grâce à ça, et même s’il a des petits boulots de temps en temps, il se fait vite renvoyer, soit à cause de ses absences, soit pour son comportement pas toujours très appréciable.
Nillem ment, mais uniquement quand c’est utile ; c’est-à-dire tout le temps, quoi xD. En étant voleur, il doit se couvrir, et donc mentir. Et puis, lorsqu’on le questionne sur ses absences quand il rend visite à Rain, il est également obligé de mentir, même si là, il aimerait crier sur tout les toits qu’il sort avec la jeune fille. En effet, tout le monde n’est pas sans savoir qu’elle est fiancé à un jeune lord, alors si quelqu’un apprenait qu’elle et lui se voyait en secret, ils seraient morts l’un comme l’autre. Sinon, lorsqu’il peut dire la vérité librement, il l’a dit sans aucun soucis. D’ailleurs, Nillem est même trop honnête pendant ces rares moments. Il ne se dégonflera pas pour dire à quelqu’un ses quatre vérités et pour lui dire ce qu’il pense sincèrement de cette personne.

En plus de ça, Nillem est assez sarcastique. Trop, même. Si vous avez lu l’histoire, c’est d’ailleurs pour ça que Rain s’est sauvée. Il utilise trop souvent l’ironie, et en devient souvent blessant, même si à la base, ce n’est pas son intention. Il est parfois drôle, avec ses sarcasmes, surtout lorsqu’il s’adresse à des aristocrates, qu’il déteste. Après le fait qu’il ment et vole souvent, son côté sarcastique est sans doute son deuxième plus gros défaut.

Passons aux qualités, désormais. Loyal, Nillem est très loyal. Que ce soit en amour, il sera très fidèle, ou en amitié, il ne trahira jamais un de ses amis. Bon, il ne fait pas toujours des actions très honnêtes, vous l’aurez compris, mais il est loyal, on ne peut le lui reprocher. Il est fidèle et ne trahira jamais personne. C’est son grand principe.

Ensuite, on peut dire qu’il est toujours optimiste. Même dans les pires situations, ou quand il n’est pas de très bonne humeur, il trouve toujours moyen de positiver. Il a toujours un sourire accroché au bout des lèvres. Il faut dire que ce sourire lui est indispensable pour charmer, et ainsi voler sans compter, et sans se faire capter. Mais même sans ça, Nillem a toujours le sourire, enfin presque tout le temps. Il n’arrive pas à faire la tête, et c’est tant mieux. Ainsi, dans des situations tendues, ce sera toujours lui le premier à crever l’abcès.

Nillem est généreux, aussi. Il vole, certes, mais il ne volera que ceux qui, selon lui, le méritent ; les aristocrates ou les bourgeois, par exemple, les gens hypocrites, méprisants et méprisables, les gens violents et agressifs avec les autres, les marchands trop vantards et trop sûrs d’eux. Enfin, toutes ces sortes de gens là, quoi.
Comme Robin des Bois, il vole aux riches pour donner aux pauvres. C’est un petit peu caricaturé, car il garde une marge pour lui, tout de même, mais il aime rendre service à ceux qui sont dans le besoin. Il aime venir en aide aux autres, il trouve ça évident.

Pour finir, je dirais que Nillem est quelqu’un de très attachant. Toujours sourire, voleur mais bon au fond de lui, généreux et amoureux, il est très sympathique. Nombreuses sont les demoiselles qui n’ont su résister à son charme. Mais Nillem, comme déjà dit, sera toujours fidèle à Rain. Il l’aimera jusqu’à sa mort, et jamais il ne la décevra. Attachant, le bonhomme, vous dis-je :3.

▬ LOVE/HATE :

Ce qu’il n’aime pas ? Être loin de Rain, pour commencer. Il déteste le plan qu’elle a mis en place pour arnaquer ce lord stupide. Il n’aime pas ce type, il n’aime pas cette histoire, il n’aime pas ça. Pas ça du tout.

Ensuite, je pourrais dire qu’il déteste une autre personne ; James D. Pritchard. Nillem s’est fait coincé par celui-ci lorsqu’il dérobait la bague que James souhaitait offrir à sa fiancée. Seulement, fautes de preuves, James n’a pas souhaité coller un procès à Nillem, de peur que son image d’aristo’ soit salie. Nillem n’aime pas ce type, car ce serait le seul susceptible de le démasquer.

Je vais vous épargner ses goûts niveau alimentation ; on se fiche complètement qu’il déteste les épinards ou qu’il n’aime pas la glace à la vanille. C’est parfait, car jamais il n’aura accès à de la glace à la vanille.

Pour ce qui est des gens que Nillem déteste, il s’agit surtout des gens hypocrites, vantards, méprisants et méprisables, agressifs, violents, avares, prétentieux, totalement dénués d’intelligence, ivrognes, infidèles, impolis et riches. Dites à Nillem que vous êtes un/e aristocrate, et vous saurez qu’il vous déteste déjà. Il déteste cette race de gens qui se croient supérieurs uniquement car ils ont de l’argent à revendre et qu’ils appartiennent à une haute classe sociale.

Ce qui aime ? Rain :3. Okay, okay, j’arrête xD. Il adore faire la fête, bien que ce soit assez rare. Et bien sûr, il adore arnaquer ceux qui le méritent, il adore voler. Vaut mieux, sinon le risque n’en vaut pas la chandelle. Ce qu’il aime, aussi, c’est le calme et la solitude. Cela lui permet de réfléchir.

Et je pense que ce sera tout ^.^

▬ SECRET D'HISTOIRE :

Nillem a deux secrets ; et tout les deux sont aussi importants, car si seulement l’un des deux est découvert, cela pourrait courir à sa perte.

Commençons par le premier, qui est peut-être le moins illégal des deux … ou pas. Je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, mais je le répète encore ici ; Nillem est un voleur. Un super voleur, vraiment très malin et vraiment très doué. C’est un des meilleurs dans son domaine, et pas une seule fois il ne s’est fait prendre. Enfin, peut-être une fois, mais pas plus. Il n’a pas intérêt de se faire pincer, vraiment pas. Il pourrait avoir de gros ennuis avec la justice, et il ne le souhaite pas, car cela signifiera qu’il serait loin de Rain. Et qu’elle épouserait ce lord et fonderait une famille.

Tiens, justement, nous abordons la question du deuxième secret, tout aussi dangereux, si ce n’est plus. A la base, c’est une idée de Rain. Il faut dire que Nillem et Rain, bien que très amoureux, ne sont pas très riches ; ils n’ont pas grand chose, pour ne pas dire rien. Alors qu’une idée germait dans l’esprit de Rain, Nillem s’y opposait ; Rain avait prévu de se marier avec un riche lord de Londres. Une fois le mariage effectué, en cas de mort accidentelle de son époux, Rain touchera à sa fortune. Elle prévoit donc de se marier avec Damon R. Witchard pour mieux l’arnaquer ensuite. Elle prémédite le meurtre de Damon, qui sera maquillé en mort accidentelle, pour pouvoir hériter de sa fortune et vivre ensuite une vie paisible et heureuse avec Nillem. Celui-ci déteste ce plan, car cela oblige Rain a avoir des contacts avec Damon, et la simple idée que le lord puisse embrasser sa petite amie le dégoute. Pourtant, Nillem est obligé de faire le sacrifice ; il sait que sans cet argent, il serait incapable d’épouser Rain. Mais il répugne à ce plan quand même, et a un mauvais pressentiment quant à sa bonne réalisation. Il ne faudrait pas que quelqu’un s’aperçoive de l’arnaque, auquel cas Rain, tout comme lui, ne feraient plus partie de ce monde.

WELCOOOOME

AAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!
GASPAAAAAAD ULLIIIIEEEEEEEEEEL !!!! (aa)
*En mode bave devant un mec si sex =p* xD

Ah oui ... J'allais oublier ... Bienvenue =p

Bienvenu !!

J'en connais une qui va être contente quand elle va être de retour... x) D'ailleurs j'vais même lui envoyer un message pour lui dire ! XD

Bonne chance pour ta fiche, et n'hésite pas si tu as un problème ! Pour ton deuxième prénom, tu choisis ce que tu veux !

Gaspaaaaaaaaaaaaaaaaaaard !!

Merci les gens : D.

Je pense finir la présentation dans un ou deux jours.

Bienvenuuuue !!! Je suis trop contente de toutes ces nouvelles têeeeeetes !!!

N'hésite pas si tu as des questions

Weeelkooom' x)
Bon courage pour ta fiche !

Hna Nillen
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche.

Indiscrétion: tu jouais quoi quand tu jouais pas un perso humain?
Bienvenue, btw...

Je jouais, et je joue toujours, des personnages félins : ). Des chats, quoi xD.

Bienvenue parmi nous miss !
Très bon choix *Gaspard quoi <3*

Viva Gaspard moi je dis.

Bienvenuue

Gaspaaard *___*
* bave *

On se demande d'où le prénom Manech m'est venu.. (aa)

Mdr. N'empeche que quand je suis arrivée, j'ai vu un Manech, directe mon cerveau à fait GAAAAASPAAARD.
... Et biiin nan, c'était pas Gaspard. xD

Pourquoi, d'où il sort Manech? *Grosse, grosse paumée *

Un long Dimanche de Fiançaille. =D

Bienvenue

xD Et non, c'est pas Gaspard (a)

Mais c'est bon, Nillem est là =D
Enfin un concurrent niveau vol à l'étalage

Biienvenue

Désolée pour le retard, vraiment, mais là, j'ai pas pu faire autrement. L'histoire de Nillem est en construction, donc j'aimerais prolonger le délais pour ma présentation.

* a fait un rêve bizarre à propos de Nillem & Rain, l'autre nuit d'ailleurs x) *.

Pas de soucis, merci de nous prévenir. J'espère que personne ne prendra le rôle d'ici là ^^

Gaspard (a) !
Bienvenue !

Histoire écrite : ).

J'adore ton histoire, ton style... Tu écris super bien !! Un RP avec moi sera, j'en ai bien peur, inévitable !! _

J'suis impatiente de te valider...